Le cycle de la démocratie

Le cycle de la démocratie

Alexander Fraser Tytler, lord Woodhouselee 
(15 octobre 1747 , Édinbourg – 5 janvier 1813 , idem) 
Avocat et écrivain britannique d’origine écossaise.

Aujourd’hui connu surtout pour la citation :

« Un régime démocratique ne peut pas perdurer. Il subsiste jusqu’au moment où les électeurs découvrent qu’ils peuvent se voter des largesses aux dépens du trésor public. Dès ce moment, la majorité élit toujours les candidats qui promettent le plus de cadeaux aux frais du trésor public, avec pour conséquence que la démocratie croule sous le poids d’une politique fiscale immodérée, toujours suivie par une dictature.

La durée moyenne des grandes civilisations depuis le début des temps historiques, a toujours été d’environ 200 ans. Au cours de ces 200 années, ces nations sont toujours passés par les étapes suivantes :de la servitude à la foi en dieu, de la foi au courage, du courage à la liberté, de la liberté à l’abondance, de l’abondance à la complaisance, de la complaisance à l’apathie, de l’apathie à la dépendance, de la dépendance à de nouveau la servitude.

Cette citation proviendrait d’un livre dont le titre aurait été « The Fall of the Athenian Republic », mais ce livre reste inconnu. Aussi il y a un fort soupçon du caractère apocryphe de cette citation.

A democracy is always temporary in nature; it simply cannot exist as a permanent form of government. A democracy will continue to exist up until the time that voters discover that they can vote themselves generous gifts from the public treasury. From that moment on, the majority always votes for the candidates who promise the most benefits from the public treasury, with the result that every democracy will finally collapse due to loose fiscal policy, which is always followed by a dictatorship.

The average age of the worlds greatest civilizations from the beginning of history, has been about 200 years. During those 200 years, these nations always progressed through the following sequence:From spiritual faith to great courage;From courage to liberty;From liberty to abundance;From abundance to complacency;From complacency to apathy;From apathy to dependence;From dependence back into bondage.  »

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Pourquoi le mal de vivre…

Pourquoi le mal de vivre…

Je ressens le besoin de me vider un peu le cœur ici ce matin. J’ai envie de vous expliquer pourquoi je perd le goût de vivre.
J’espère que ce texte rejoindra d’autres personnes qui se sentent un peu comme moi.

Je suis né à Montréal il y a 50 ans et des poussières. J’ai vécu la plus grande partie de ma vie comme tout le monde en allant à l’école, suivi par des cours spécialisés dans un domaine que je souhaitais travailler.

LE TRAVAIL

J’ai ensuite travaillé comme employé pour différentes entreprises pendant mes années sur le marché du travail. Je n’ai jamais ressenti une réelle passion pour mon travail, peut importe l’entreprise. Mon parcours comme employé s’est terminé à la mi-quarantaine lorsque ma conjointe et moi avions décidé de se concentrer à bâtir une entreprise… ce qui s’est avéré être un flop monumental!

J’y reviens plus tard.

LA GÉOGRAPHIE

En 30 ans, ma conjointe et moi avons déménagé 5 fois, incluant l’achat de 3 maisons, dans 3 régions différentes. Je suis donc passé de Montréal à Québec, puis à la campagne.

Mes déménagements m’ont amené à me rapprocher de l’eau, une source où je ressens une réelle connexion.

Depuis tout petit, j’ai toujours rêvé de vivre au bord de la mer. J’y ai passe toutes mes vacances d’été étant jeune et chaque fois que je devais quitter, je ressentais un réel déchirement comme si une partie de mon cœur se détachait pour rester près de l’océan.

Je développerai dans une autre publication.

LE CLIMAT

Devenu adulte et pris dans la roue du train-train quotidien, je commençais petit à petit à détester l’hiver, cette saison si caractéristique et aimé de la plupart des québécois. Cependant, j’étais dans l’acceptation de cette vie, mais année après année, cette acceptation s’est effritée pour se transformer en dépression puis en haine viscérale de cette saison froide et morte.

Je pourrais écrire un livre tellement j’en ai à dire surtout sur ce qui me répugne de l’hiver québécois… Je devrais probablement le faire, mais pour l’instant je vais en faire un résumé dans une publication future.

LES HUMAINS

Un grand malaise face a l’humain est apparu depuis quelques années. Je commence à me demander si c’est simplement à cause que je suis malheureux dans ma vie et c’est pour cette raison que je n’arrive plus à aimer les autres et ne voit que leurs côtés négatifs.

Je trouve tellement que les gens ont de moins en moins de respect pour les autres et pour l’environnement qui les entoure! Ils sont centrés sur eux-mêmes et en compétition contre les autres.

Une chose que la pandémie actuelle qui dure depuis 2019 m’a fait réalisé… le peuple parmi lequel je n’ai pas choisis de naître me déçoit au plus haut point. Oui, je peux partir et je veux le faire, mais ce n’est pas si évident de s’expatrier… encore moins depuis 2 ans.

ATTENTION!!! Je réplique tout de suite à tous ceux qui auraient envie de me répondre l’imbécilité que j’entends de trop de québécois… NON. CE N’EST PAS PAREIL PARTOUT!!! C’est exactement ce que le gouverne-ment veut vous faire croire pour vous garder dans votre petite prison confortable. L’obligation à la langue française fait aussi partie de ce plan de vous garder ignorant du reste du monde.

*La suite dans de prochaines publications.

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Est-ce que je deviens misanthrope?

Est-ce que je deviens misanthrope?

Définition Wikipédia :
Personne qui manifeste de l’aversion pour tout le genre humain.
La misanthropie ou anthropophobie est le fait de détester ou mépriser le genre humain dans son ensemble, sans aucune distinction de sexe, d’ethnie, de religion ou de nationalité.
Dans la philosophie occidentale, la misanthropie est liée au fait de s’isoler de la société humaine.
De nos jours, est suspectée de misanthropie une personne se tenant loin de ses semblables et aimant la solitude.

Depuis l’âge adulte, je sens que je m’éloigne de plus en plus des autres en général.
Je n’ai jamais d’ami proche et régulier et c’est souvent moi qui n’entretiens pas les liens avec les autres.

Plus les années passent, le moins je m’intéresse aux loisirs communs comme les sports, les voitures, les sorties dans les bars et restaurants, etc. Je préfère profiter des plaisirs gratuits de la vie… je m’éloigne toujours plus de mon ancienne vie matérialiste et superficielle.

On dit souvent qu’il faut voir le verre à moitié plein, mais ma vision de l’être humain est un verre à 90% vide… alors c’est assez difficile de voir le 10% de bon, mais j’essaie.
Je constate régulièrement le non-respect envers les autres, envers les animaux et la nature (notre Terre Mère). Je vois des personnes centrées sur elles-mêmes, stressées et programmées à entretenir un style de vie qui empoisonne notre société malade sans aucunes volonté de changer quoi que ce soit.

Je me sens comme quelqu’un qui veut guérir, mais qui est entouré de gens malades… je cherche donc à m’isoler!

La définition d’un misanthrope parle d’une haine du genre humain. Est-ce que je déteste tous les humains? Non, mais la grande majorité me font pitié, m’attriste et me frustre souvent.

Il fut un temps où je visualisais et espérais un futur utopique où l’humanité finissait par vivre en paix avec des bonnes valeurs. Mais aujourd’hui, j’en suis venu à la certitude que nous allons nous détruire bien avant que ce changement s’opère.

Je voyais dernièrement un documentaire sur les avancements de la conquête de la planète Mars et éventuellement sa colonisation. Tout ça pour fuir une planète qui devient trop peuplée et de moins en moins vivable. C’est décourageant de voir à quel point nous pouvons être bêtes en croyant que ce sera différent ailleurs. Nous allons simplement aller polluer et détruire une deuxième planète!

Je suis sorti de la ville pour aller vivre à la campagne en croyant que les gens seraient différents.
Il y a certainement des différences. Il y a moins de stress et les personnes se parlent plus qu’en ville, mais pour ce qui est des imbéciles… oui, j’ai bien écris « imbéciles » parce que c’est la moins pire expression pour définir les personnes qui : ne ramassent pas les crottes de leur chien, jettent leurs déchets par la fenêtre de leur voiture ou les laisse partout dans les lieux publiques, les pires sont ceux qui trouvent amusant de péter leurs bouteilles de bière par terre, il y a aussi les fumeurs qui jettent leurs mégos par terre même s’il y a un cendrier à quelques mètres, les conducteurs qui trop stressés et pressés pour laissé traverser les piétons ou qui te colle au cul en voiture, ceux qui ne respectent pas les animaux, ceux qui dérangent la quiétude des autres en ne respectant pas les règles, exemple : des gens à vélo qui roulent sur des chemins piétonniers ou d’autres qui laissent leur chien en liberté dans les parcs où il y a des enfants, personnes âgés et familles qui cherche le calme… J’en passe et en oublie!

Certains diront que ce n’est rien quand on pense aux peuples en guerres ou en famine, mais quand on vit dans un pays dit « civilisé », tous ces petits désagréments, accumulés jours après jours, finissent par peser et empoisonner l’existence.

Bon, revenons à la différence entre la ville et la campagne… Je constate aujourd’hui que la loi de la moyenne est de mise ici.
« Les imbéciles sont en moins grand nombre à la campagne parce que la population est beaucoup moins nombreuse. Le pourcentage est le même partout probablement! »

Donc, est-ce que je suis misanthrope? Je ne sais pas. C’est la définition la plus proche de ce que je ressens en moi.

Cependant, je continu de croire en une vision, le rêve d’un jour rassembler une petite communauté de personnes qui priorise le respect et la vie, de vivre entouré de bonnes personnes dans un endroit sans pollution directe.

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Si l’argent n’existait pas, est-ce que vous feriez la même vie ?

Si l’argent n’existait pas, est-ce que vous feriez la même vie ?

Que feriez vous si l’argent n’existait pas? A quoi ressemblerait votre vie ? Est-ce que vous allez continuer de vous ennuyer dans le bureau que vous détestez, avec des collègues qui détestent tout autant que vous ce qu’ils font… Ou bien est-ce que vous voudrez cibler quelque chose qui vous aidera à vous sentir satisfait et heureux? lire plus…

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24 heures avant sa mort, elle laisse un magnifique message sur Facebook.

La mort est quelque chose que nous devons tous affronter à un moment dans notre vie. Que ce soit la mort d’un proche ou que vous vous battiez pour rester en vie – ce n’est jamais facile d’affronter la mort tout seul.

Heureusement, la plupart des personnes n’ont pas à y penser avant d’être assez âgé, et, c’est triste à dire, mais certaines personnes doivent y faire face alors qu’elles sont encore jeunes. Holly Butcher était l’une de ces personnes.

Quand Holly a eu 26 ans, elle a appris qu’elle avait un cancer agressif, et elle a commencé à beaucoup penser à la mort.

Elle a décidé d’écrire une dernière lettre avant de mourir, et a posté sa lettre bouleversante sur sa page Facebook le 3 janvier 2018.

Moins de 24 heures après la publication de sa lettre d’adieu, Holly est morte, entourée de sa famille.

Maintenant, son message touche des gens du monde entier, et tout le monde est bouleversé par les mots d’Holly.

Voici comment elle commence sa lettre :
« C’est quelque chose d’étrange de prendre conscience et d’accepter sa mortalité à 26 ans. C’est juste l’une de ces choses qu’on ignore. Les jours passent et vous supposez tout simplement qu’ils continueront à arriver ; jusqu’à ce que l’imprévisible arrive. J’ai toujours imaginé que je deviendrais vieille, ridée et avec des cheveux gris – fort probablement causés par une belle famille (beaucoup d’enfants) que j’aurais bâtie avec l’amour de ma vie. J’en ai tellement envie que ça fait mal. »

Facebook / Holly Butcher

« C’est ça le truc avec la vie ; c’est fragile, précieux et imprévisible et chaque jour est un cadeau, pas un droit acquis.
Actuellement, j’ai 27 ans. Je ne veux pas partir. J’aime ma vie. Je suis heureuse… Je le dois à mes proches. Mais je n’ai plus le contrôle.
Je n’ai pas commencé cette « note avant que je meure » pour qu’on ait peur de la mort – J’aime le fait que nous sommes majoritairement ignorants de cette inévitabilité… Sauf que je veux en parler et que c’est traité comme un sujet « tabou » qui n’arrivera jamais à aucun d’entre nous… C’était un peu dur.
Je veux juste dire aux gens d’arrêter de s’inquiéter autant avec les petits stress insignifiants de la vie et d’essayer de se souvenir que nous avons tous le même destin après tout, alors faites ce que vous pouvez pour que votre temps vaille la peine et soit formidable, moins les conneries.

Facebook / Holly Butcher

J’ai partagé beaucoup de mes pensées ci-dessous, car j’ai eu beaucoup de temps pour réfléchir à la vie ces derniers mois. Bien sûr, le plus souvent, c’est en plein milieu de la nuit que ces choses aléatoires me viennent en tête !
Ces fois où vous vous plaignez de choses ridicules (quelque chose que j’ai remarqué de nombreuses fois ces derniers mois), pensez à quelqu’un qui affronte un vrai problème. Soyez reconnaissant pour votre problème mineur et surmontez-le. C’est OK d’admettre que quelque chose vous agace, mais essayez de ne pas rester bloqué dessus et d’affecter les journées des autres de façon négative.

Facebook / Holly Butcher

Une fois que vous faites ça, sortez et prenez une bonne inspiration de cet air frais australien tout au fond de vos poumons, regardez à quel point le ciel est bleu et à quel point les arbres sont verts ; c’est tellement beau. Pensez à quel point vous êtes chanceux de pouvoir faire ça – respirer.
Vous étiez peut-être pris dans un mauvais trafic aujourd’hui, ou vous avez eu un mauvais sommeil parce que vos beaux bébés vous ont réveillé, ou votre coiffeur a coupé vos cheveux trop courts. Vos nouveaux faux ongles ont peut-être été abimés, vos seins sont trop petits, ou vous avez de la cellulite sur vos fesses et votre ventre est flasque.

Facebook / Holly Butcher

Laissez partir toute cette merde… Je vous jure que vous ne penserez pas à ces choses quand votre tour viendra. Tout ça est TELLEMENT insignifiant quand vous regardez la vie dans son ensemble. Je regarde mon corps dépérir sous mes yeux sans que je puisse y faire quoi que ce soit et tout ce que j’aurais souhaité c’est avoir un autre anniversaire ou un autre Noël avec ma famille, ou juste un jour de plus avec compagnon et mon chien.
Juste un de plus.
J’entends les gens se plaindre d’à quel point leur travail est terrible ou à quel point c’est difficile de faire de l’exercice – Soyez reconnaissant d’être physiquement capable de le faire. Le travail et les exercices peuvent avoir l’air d’être des choses banales… jusqu’à ce que votre corps ne vous permette pas de faire ni l’un ni l’autre.

Facebook / Holly Butcher

J’ai essayé d’avoir une vie saine, en fait, c’était probablement ma passion principale. Appréciez votre santé et votre corps qui fonctionne – même si vous n’avez pas la taille idéale. Prenez-en soin et acceptez à quel point il est merveilleux. Faites-le bouger et nourrissez-le avec de la nourriture fraiche. Ne soyez pas obsédé par lui.
Souvenez-vous qu’une bonne santé, ça concerne plus que le corps… travaillez aussi dur à trouver votre bonheur mental, émotionnel et spirituel. Ainsi, vous réaliserez peut-être à quel point le corps parfait décrit par les médias est vraiment insignifiant et absolument pas important… Pendant que je suis sur le sujet, effacez tous les comptes qui apparaissent sur votre fil d’actualité et qui vous font vous sentir mal dans votre peau. Que ce soit un ami ou pas… Soyez sans pitié pour votre propre bien-être.
Soyez reconnaissant pour chaque jour où vous n’avez pas de douleur et même le jour où vous allez mal avec un petit rhum, un dos douloureux ou une cheville tordue, acceptez que c’est de la merde, mais soyez reconnaissant que ça ne menace pas votre vie et que ça partira.
Plaignez-vous moins !… Et aidez-vous les uns les autres plus souvent.
Donnez, donnez, donnez. C’est vrai que vous êtes plus heureux en faisant des choses pour les autres que pour vous-même. J’aurais voulu l’avoir fait plus souvent.
Depuis que je suis malade, j’ai rencontré les personnes les plus incroyablement généreuses et gentilles et j’ai été la bénéficiaire des mots les plus attentionnés et aimants qui soient et du soutien de ma famille, de mes amis et d’inconnus ; plus que je ne pourrais donner en retour. Je ne l’oublierai jamais et je serai éternellement reconnaissante envers toutes ces personnes.

MaxPixel

C’est quelque chose d’étrange d’avoir de l’argent à dépenser à la fin… quand vous êtes en train de mourir. Ce n’est pas le moment où vous sortez et achetez les choses matérielles que vous achèteriez en temps normal, comme une nouvelle robe. Ça vous pousse à penser à quel point c’est idiot que nous pensions que ça vaut la peine de dépenser autant d’argent sur de nouveaux vêtements et de nouvelles « choses » dans notre vie.
Achetez quelque chose de gentil pour votre ami au lieu d’une autre robe, d’un produit de beau ou d’un bijou pour le prochain mariage auquel vous assisterez. 1. Ça n’intéresse personne si vous portez la même chose deux fois 2. Ça donne un sentiment de bien-être. Invitez-les à diner, ou mieux encore, faites-leur à manger. Apportez-leur un café. Donnez/achetez-leur une plante, un massage ou une bougie et dites-leur que vous les aimez quand vous le leur donnez.

Facebook / Holly Butcher

Accordez de la valeur au temps des autres. Ne les faites pas attendre parce que vous êtes nul quand il s’agit d’être à l’heure. Préparez-vous plus tôt si vous êtes une de ces personnes et appréciez que vos amis veuillent partager leur temps avec vous, pas à s’asseoir seul, en attendant un ami. Vous gagnerez aussi du respect ! Amen ma sœur.
Cette année, notre famille a accepté de ne pas offrir de présents et même si l’arbre avait l’air plutôt triste et vide (j’ai presque craqué lors du Réveillon de Noël !), c’était tellement bien parce que les gens n’avaient pas le stress du shopping et l’effort a été investi dans une jolie carte écrite pour les uns et les autres. En plus, imaginer ma famille essayer de m’acheter un cadeau qui leur reviendrait probablement est bizarre ! Ça peut avoir l’air nul, mais ces cartes veulent dire beaucoup plus que n’importe quel achat. J’avoue que c’était aussi plus facile à faire chez nous parce que nous n’avons pas de jeunes enfants à la maison. Enfin, la morale de l’histoire – les cadeaux ne sont pas nécessaires pour un Noël plein de sens. Passons à autre chose. Utilisez votre argent pour des expériences… Ou du moins, ne ratez pas des expériences parce que vous avez utilisé tout votre argent sur des trucs matériels.

Facebook / Holly Butcher

Investissez l’effort qu’il faut pour passer cette journée à la plage que vous repoussez sans cesse. Plongez vos pieds dans l’eau et enfoncez vos orteils dans le sable. Trempez votre visage avec l’eau salée.
Retrouvez-vous en pleine nature.
Essayer de simplement jouir des moments et d’être présent au lieu de les capturer à travers l’écran de votre téléphone.
La vie n’est pas faite pour être vécue à travers un écran, il ne s’agit pas non plus de faire la photo parfaite… profitez du putain de moment, les gens ! Arrêtez d’essayer de le capturer pour tous les autres.

Pixabay

Question rhétorique aléatoire. Est-ce que ces heures que vous passez à faire votre coiffure et votre maquillage chaque jour ou pour sortir le soir valent vraiment la peine ? Je n’ai jamais compris ça à propos de la gent féminine.
De temps en temps, levez-vous tôt et écoutez les oiseaux en regardant les belles couleurs que le soleil crée en se levant.
Écoutez de la musique… écoutez vraiment. La musique est une thérapie. Les vieux trucs sont les meilleurs.
Faites des câlins à votre chien. Ça va le plus me manquer, et de loin.
Parlez à vos amis. Posez votre téléphone. Est-ce qu’ils vont bien ?

Facebook / Holly Butcher

Travaillez pour vivre, ne vivez pas pour travailler.
Sérieusement, faites ce qui rend votre cœur heureux.
Mangez le gâteau. Zéro culpabilité.
Dites non aux choses que vous ne voulez pas faire.
Ne vous sentez pas forcé de faire des choses parce que d’autres personnes pourraient penser que c’est une vie accomplie… vous pourriez vouloir d’une vie médiocre et c’est vraiment OK !

Facebook / Holly Butcher

Dites à vos proches que vous les aimez à chaque fois que vous en avez l’occasion et aimez-les avec tout ce que vous avez.
Aussi, souvenez-vous que si quelque chose vous rend misérable, vous avez le pouvoir de changer ça – au travail ou en amour ou quoi que ce soit. Ayez les tripes de changer. Vous ne savez pas combien de temps vous avez sur cette terre, alors ne le gâchez pas à être misérable. Je sais qu’on le dit tout le temps, mais ça ne pourrait pas être plus vrai.

Buckley Air Force Base / U.S. Air Force photo by Senior Airman Marcy Copeland

De toutes façons, ce n’est que des conseils de vie d’une jeune fille. Suivez-les ou pas, peu m’importe !
Oh et une dernière chose, si vous pouvez, faites une bonne action pour l’humanité (et moi-même) et commencez à faire don de votre sang régulièrement. Ça vous fera vous sentir bien avec le bonus de sauver des vies. Je sens que c’est quelque chose qui est tellement négligé alors que chaque don peut sauver 3 vies ! C’est un impact massif que chaque personne peut avoir et la procédure est vraiment très simple.
Les dons de sang (plus de poches de sang que je ne pourrais compter) ont aidé à me garder en vie pendant une année de plus – une année que je serai pour toujours reconnaissante d’avoir passée sur Terre avec ma famille, mes amis et mon chien. Une année pendant laquelle j’ai vécu les meilleurs moments de ma vie.
…jusqu’à ce qu’on se retrouve à nouveau.
Hol
Kärlek

Facebook / Holly Butcher

Je ne peux rien faire d’autre que de verser une larme pour chaque mot que Holly a écrit. Ça peut être difficile à appliquer dans la vie de tous les jours, mais si nous pensions tous comme ça plus souvent, le monde serait un endroit meilleur, et nous, les humains, serions un peu plus heureux.

Veuillez partager la belle lettre d’Holly en l’honneur d’une jeune femme intelligente et merveilleuse qui avait tellement de bons conseils à partager. Repose en paix.

Son compte Facebook est maintenant un compte commémoratif.
https://www.facebook.com/hollybutcher90

Publié par Newsner.

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Joyeuses Fêtes et bonne nouvelle année !

Chers lectrices et lecteurs.

La plupart de nous sommes en vacances pendant le temps de Noël. Nous nous déconnectons de la routine et du train-train quotidien, du métro-boulot-dodo. Nous profitons de bons moments en familles et avec des amis que nous ne voyons peut-être pas souvent. Nous oublions nos soucis quotidiens et vivons un peu plus le moment présent.
Profitons donc de ce temps de déconnexion pour se reconnecter avec notre Être intérieur… d’écouter ce qu’il a à nous dire. Nous avons rarement le temps de le faire dans le vacarme du stress de tous les jours.

En cette fin d’année, beaucoup en profite pour faire des résolutions pour la nouvelle année. Mais ces résolutions tournent souvent autours des mêmes thèmes… « Arrêter de fumer, maigrir, faire plus de sport… » Ne choisissez pas quelque chose de « populaire », prenez plutôt le temps de vous recentrer, de faire le silence dans votre tête et de vraiment écouter cette petite voix qui vous parle constamment.
Faites le choix d’entreprendre quelque chose de vraiment important POUR VOUS et non pas qui paraitrait bien aux yeux des autres.

Faites la résolution en 2018 de vous libérer du jugement des autres. Gravez dans votre cerveau cette phrase : « Ce que les autres pensent de moi ne me regarde pas ».

Faites-vous la promesse de tout mettre en œuvre en 2018 pour entreprendre des actions et des changements qui VOUS rendrons heureux et qui vous ferons avancer vers une vie meilleure.

Fermez-la et écouter ce que vous avez à vous dire ! 😉

 

Voilà, c’était mon petit message de dernière minute que j’ai écris pendant la confection de mes fameux mini-éclairs maison du temps des Fêtes.

 

À vous tous, que vous célébriez Noël et ce temps des Fêtes ou non, je vous souhaite tout ce qu’il y a de meilleur et de merveilleux pour vous et vos proches durant l’année qui vient.

Patrick Dufficy

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Comment réussissez-vous dans la vie ?

Que veut vraiment dire réussir ?

Femme devant le soleil couchant

« Jean il a réussi lui ». Immédiatement vous songez qu’il gagne bien sa vie. Expression d’ailleurs amplement détournée, étant donné que trop souvent on perd justement la vie à la gagner… Mais est-ce vraiment ça réussir ? Gagner beaucoup d’argent ? Le sens du mot réussir n’aurait pas changé dans l’interprétation instantanée qu’on en fait au quotidien ?

Homme fortuné en costume

 

Quelle est la vraie définition ?

Si vous cherchez dans le dictionnaire Larousse, vous trouverez ça : « Avoir un résultat heureux, se terminer par un succès […] Obtenir un succès, en particulier réaliser ses ambitions : Il réussit dans ce qu’il entreprend. » “Résultat heureux”, “réaliser ses ambitions”. On est loin d’une définition se cantonnant à l’argent. D’ailleurs lorsqu’on repense à l’exemple de Jean, on peut légitimement se poser la question : « Il a réussit à quoi ? » (qu’a-t-il accompli ?) . Il est intéressant de voir comment l’interprétation décontextualisée se tourne immédiatement vers une définition unique et déshumanisée du mot.

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Écouter le silence

Vous êtes-vous déjà arrêtez pour écouter le silence ?

Nous vivons dans un monde où nous sommes constamment entourés de bruit. Si vous vivez en ville, le bruit est constant; conversations des gens partout, voitures, camions, construction… et partout, il y a les médias, la télévision, la radio, etc.

Êtes-vous cette personne qui est incapable de couper ce flot de « bruit » ne serait-ce qu’un instant ?

Est-ce que vous avez toujours la radio allumée ou de la musique dans votre voiture ? Dans les transports publics ou tous autres déplacements vous avez vos écouteurs dans les oreilles. En arrivant à la maison, une des premières choses que vous faites est d’allumer la télé… même si vous ne la regardez pas. Comme si ce n’était pas assez, maintenant nous ajoutons les bidules technologiques avec les médias sociaux !

Dès que nous sommes dans une situation d’attente ou de pause dans nos vies déjà trop remplies et organisées, le premier réflex est de sortir son cellulaire ou sa tablette pour vérifier ce qu’il se passe sur Facebook, Twitter, Instagram, Snapchat, Youtube, lire ses textos et répondre à ses courriels. Nous voyons cela surtout dans les file d’attente au magasin et dans les salles d’attente… au lieu de relaxer un peu ou d’avoir une conversation avec la personne à côté de nous, tout le monde a les yeux rivés sur leur petit écran.

Beaucoup d’études prouvent également que de passer les dernières 30 minutes devant un écran de téléphone cellulaire, d’ordinateur ou de télévision perturbe le sommeil… le seul moment où l’on devrait faire taire tout ce bruit, nous faisons en sorte que notre cerveau maintienne ce bruit, même pendant notre sommeil.
Même chose le matin ou si nous nous réveillons en pleine nuit… nous sautons littéralement sur notre cellulaire pour voir tout ce que nous avons manqué pendant nos heures de sommeil. Cette pratique vient souvent gâcher notre journée entière.

Lors du réveil le matin, prenez un temps de silence. 5 minutes suffisent. Faites des étirements et respirez profondément. Vous pouvez également garder un petit calepin dans votre table de chevet et y écrire les choses pour lesquelles vous avez de la gratitude. Ces pratiques peuvent complètement changer vos journées.

Nous sommes tellement habitué de toujours être entouré de bruits de toutes sortes que nous en sommes venu à avoir peur du silence. Cette peur n’est pas consciente, mais nous avons un malaise avec le silence. Même un silence de quelques secondes dans une conversation produit un malaise.

Des études en neurosciences démontrent aujourd’hui les énormes bienfaits du silence.


En une journée, notre cerveau traite autant d’information que dans toute une année, il y a 100 ans !

Le fait d’être hyper branché à toute cette technologie, nous rend de plus en plus débranché de nous-même. Le « bruit » attire trop notre attention sur tout ce qui est extérieur et nous empêche de la porter sur nous-même.
Pourquoi tant de gens vivent en ressentant un malaise, quelque chose qui manque dans leur vie ? Tout ce vacarme nous empêche d’entendre la voix de notre inconscient… notre intuition s’en trouve faussée et les messages qu’exprime notre « moi intérieur »  sont devenu que de lointains murmures que nous ignorons la plupart du temps.

Nous vivons dans un monde d’interférences !

Se créer du silence est devenu un exercice physique et mental. Il faut réapprendre à s’écouter.
La meilleure façon de se créer du silence afin de reposer notre cerveau et par le fait même, tout notre corps est avec la méditation.
Pour ceux qui ont horreur de ce mot, laissez-moi vous rassurez… la méditation n’est pas uniquement une pratique où l’on s’assit en position de bouddha à chanter des « AAAAAAAHHH…. » pendant des heures !
Une méditation peut être une simple marche dans la nature, une contemplation silencieuse au bord de l’eau, bâtir un Inukshuk, un moment de prière avant de se coucher ou même une minute de respiration profonde dans sa voiture à un feu rouge. ?
La respiration est un autre exercice que peu de personne pratique… Oui, si nous sommes en vie, nous respirons, mais nous ne respirons pas correctement la plupart du temps. Ce sera probablement un sujet en lui-même pour un prochain blog.

L’acte de créer régulièrement des silences à l’aide de la méditation aide à dissiper la fatigue mentale, le stress, à développer son intuition pour mieux voir la bonne direction à prendre dans notre vie, à mieux comprendre ce qu’est le « lâcher prise ».
Aussi, n’oubliez pas que le fait d’apaiser le mental et de réduire le stress aura un impact bénéfique direct sur votre santé physique.

Comme n’importe quelle nouvelle pratique, ne vous mettez pas de pression, commencez par 5 minutes de silence et prenez-en l’habitude, vous en apprécierez les bienfaits assez vite. Au début, certains d’entre vous vont ressentir un malaise à rester en silence sans rien faire… C’est normal !
Le plus important est d’éviter de penser que vous n’avez pas le temps de prendre ce temps… vous enfoncerez le couteau encore plus profond !
Un dicton Zen dit : « Vous devriez vous assoir et méditer 20 minutes tous les jours, à moins que vous ne soyez trop occupé ; alors vous devriez vous assoir et méditer pendant 1 heure. » ?

Allez ! Prenez le temps de bien ne rien faire en écoutant ce que le silence essaie de vous dire.

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Pourquoi je reconnais plus Dieu dans la nature que dans une église ?

Oui, je reconnais Dieu dans la nature plus que dans une église, un temple, ou tout autre lieu de culte. Je sens que toute la gloire de Dieu peut être vue quand je suis dehors, plutôt que dans le confinement de quatre murs. Chaque fois que je fais un tour à la plage, je ressens toute la force du Créateur parce que je suis au sein de Sa création et non celle des hommes. Je ressens un immense sentiment de paix et de plaisir. Je sens qu’il est bon d’être moi-même. lire plus…

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Comment faire pour s’aimer soi-même?

Je suis certain que vous avez déjà vu cette phrase : « Vous devez commencer par vous aimer vous-même ».Mais qu’est-ce que cela signifie?

S’offrir un chocolat chaud quand on a froid ? S’acheter une nouvelle robe quand on en a envie ? Faire ce qu’on veut quand on le veut ?

S’aimer soi-même signifie apprendre à vous traiter comme un parent aimant traiterait son enfant.

En tant qu’adulte, vous avez toujours un Enfant Intérieur en vous. C’est le siège de vos émotions. Au niveau émotionnel, vous réagissez toujours comme un enfant de 3-4 ans. Vos émotions ne peuvent pas devenir « adultes ».

Mais vous pouvez le devenir et apprendre à agir comme un adulte. Vous pouvez apprendre à respecter vos émotions, comment les accepter et les gérer. Vous pouvez apprendre à vous occuper de cet Enfant Intérieur.

Quand vous n’avez pas conscience de l’existence de votre Enfant Intérieur, vous essayez de vivre dans un monde d’adultes comme un garçon ou une fille de 4 ans environ. Vous vous sentez seul, vous avez peur du monde extérieur, ne sachant pas quoi faire, où demander l’aide, comment vous protéger.

C’est très difficile de vivre de cette façon. Sans avoir appris à prendre soin de cet Enfant Intérieur, vous vous sentirez toujours anxieux, effrayé, fatigué et plein de doutes. Il est dur d’essayer de survivre comme un enfant dans un monde d’adultes. Vous vous sentirez furieux, angoissé et perdu, le plus souvent. Pourquoi ? Car personne ne s’occupe de ce Petit Enfant à l’intérieur de vous !

Disons que vous vous appelez Charlotte. Vous avez 35 ans. Au fond de vous vit la petite Charlotte. Elle a quatre ans.
Pendant que vous vous occupez dans le monde extérieur d’autres personnes, de vos affaires, que vous essayez de survivre, de faire mille choses chaque jour, la petite Charlotte se sent délaissée.

Quand vous courez toujours pour aider les autres et vous assurer que leurs besoins soient comblés, vous serez épuisé chaque soir et il y a beaucoup de risques que vous pleuriez dans votre lit. Vous avez des sautes d’humeur, parfois même des crises de rage.

Vous vous sentez souvent furieuse sans pourquoi (mais il y a une raison importante à cela). C’est votre Enfant Intérieur qui essaie de capter votre attention.

Imaginez que vous avez, en plus de vos enfants, mari, collègues, parents, amis, une petite fille de quatre ans, qui s’appelle Charlotte par exemple. On ne s’occupe pas d’elle. Dès qu’elle tente de dire quelque chose et d’obtenir un peu d’attention, vous lui criez “Tais-toi!”. Vous lui dites que vous devez vous occuper de vos parents, de votre travail, de votre mari, de vos paperasseries, de vos amis, de vos autres enfants, de votre maison … et que vous n’avez pas de temps pour elle !

Il n’y a rien de pire qu’ignorer votre Enfant Intérieur

Cela signifie que vous essayez de vivre comme si VOUS n’existiez pas. La pire sensation imaginable est d’être infidèle envers soi-même. Il n’y a rien de pire que cela !

Combien de temps avez-vous ignoré ce que vous ressentiez, pour plaire à quelqu’un d’autre ? Combien de fois avez-vous dit à votre Enfant Intérieur : “Tais-toi, tu n’es pas important, l’autre est bien plus important que toi, pars, je ne veux pas t’entendre, je ne veux pas te voir, laisse-moi tranquille” ? Horrible n’est-ce pas ? Et vous faites cela chaque fois que vous choisissez le désir de l’autre avant le vôtre.

Que fera cette petite Charlotte « intérieure »? Quand elle remarquera que les tentatives pour attirer votre attention sont vaines, elle renoncera. Elle dira : ”Je n’ai pas d’importance, on ne m’aime pas, personne ne veut s’occuper de moi, je n’en vaux pas la peine ”, et elle déprimera. Bien sûr, vous croirez que ce sont les autres qui vous dépriment, le travail, vos enfants, votre mari ou vos parents.

Mais ce n’est la faute de personne

Vous devez seulement apprendre à vous occuper de cet Enfant Intérieur qui, lui, souffre de votre manque d’attention.

Lorsque la petite Charlotte ne réussit toujours pas malgré ses nombreuses tentatives à capter votre intérêt, il lui reste un arme ultime : petite Charlotte tombera malade. Ou elle aura un accident.

De cette façon-là, la grande Charlotte adulte apprendra peut-être à prêter enfin attention à son Enfant Intérieur, qui est aussi réel (si pas plus) qu’un vrai enfant de chair et d’os. Vous devez apprendre à être un parent aimant pour vous-même.

Qu’est-ce s’aimer soi-même signifie ?

Premièrement vous devez développer une Mère Intérieure. Si vous avez eu la chance d’avoir une mère aimante, vous pouvez la prendre comme exemple. Sinon vous devez l’inventer, la créer de toute pièce cette Mère Intérieure, qui est votre énergie féminine, votre côté intuitif, soignant, aimant.

Dès que vous avez une émotion, votre Mère Intérieure devrait demander à votre Enfant Intérieur : “Que se passe t-il, mon chéri ?” Écoutez ce que votre Enfant Intérieur a à dire. Et vous continuez le dialogue. La Mère Intérieure doit dire maintenant :

“Viens ici. Viens dans mes bras, je t’aime, je t’aime comme tu es. Je t’aime avec tes émotions. Tu es en sécurité.”

En faisant cela, le poids des émotions diminuera. Dites surtout : “Je comprends” à votre enfant Intérieur. Ce sont peut-être les mots les plus importants, les mots qui ont le plus manqué.

Ces mots sont très importants, car la plupart du temps on ne se sent pas « très normal » avec les sentiments que nous avons et nous essayons de les ignorer ou réprimer, ce qui les rend plus lourds. “Je comprends, mon chéri, viens ici dans mes bras, je t’aime.” Restez quelque temps dans cet esprit jusqu’à ce que les émotions se calment, et demandez : ”De quoi as-tu besoin maintenant ?”

Peu importe la réponse de votre Enfant, dites : “Nous le demanderons à ton Père”. Ici commence la tâche de votre Père Intérieur, qui doit vous protéger et agir en votre faveur dans le monde extérieur.

Vous n’enverriez jamais votre petit de quatre ans demander une augmentation de salaire au patron ou régler un conflit à l’école ou avec les voisins, n’est-ce pas ? Pourquoi le faites-vous avec vous-même ? Envoyez votre Père Intérieur faire ce qu’il y a à faire dans le monde extérieur.

Votre Père Intérieur est votre énergie masculine, qui vous permet de prendre des décisions, d’agir, et de manifester les désirs de votre Enfant dans le monde adulte extérieur.

Lorsque votre Enfant a un besoin, comme appeler quelqu’un ou aller quelque part pour arranger quelque chose, imaginez que votre Enfant Intérieur reste à la maison avec sa Mère qui s’occupe de ses sentiments (“je comprends que tu as peur …”) et que votre Père Intérieur (cette autre partie de vous) aille faire ce qu’il y a à faire.

Votre Père Intérieur est la partie de vous qui est capable de gérer le stress, de prendre des mesures, d’arranger des conflits et toute autre action dans le monde extérieur. Si cette partie (la capacité d’agir) vous manque parce que vous n’aviez pas de bon modèle quand vous étiez petit vous-même, vous devrez la créer et la développer.

Bien sûr votre Enfant Intérieur, votre Mère et votre Père sont les différentes facettes de vous-même. Pour devenir une personne vraiment adulte, il faut développer ces parties à l’intérieur de vous. Ainsi vous deviendrez une personne intégrée, qui est capable de gérer ses propres émotions, de s’écouter et d’agir selon ce qu‘elle sent.

C’est cela s’aimer vous-même : entendre votre Enfant Intérieur, prendre soin de ses besoins, et agir pour le protéger et le laisser s’épanouir.

Je vous ai donné un « modèle » pour comprendre ce qui se passe à l’intérieur de vous et de quelle façon vous pouvez apprendre à vous aimer. L’amour pour vous-même consiste donc à prendre vos émotions au sérieux, et à agir selon vos besoins intérieurs.

S’aimer soi-même c’est installer ce dialogue avec vous-même chaque matin quand vous ouvrez vos yeux, chaque soir quand vous allez au lit et chaque fois que vous ressentez une émotion.

C’est créer votre propre famille d’amour, à l’intérieur de vous. Vous ne vous sentirez plus jamais seul. Vous êtes déjà trois ! Appelez cela votre Trinité. Où que vous alliez, à présent vous y allez avec votre Famille Intérieure. Vous n’êtes pas seul. On vous aime et on vous protège.

À présent, vous vous écoutez et vous vous occupez de ce petit Enfant précieux qui a attendu si longtemps pour recevoir votre attention et amour. C’est cela la guérison intérieure.

Auteur de s’aimer soi-même: Ineke Van Lint

Source : enthousiasme.info

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