Quitter cette vie pour sa vie
Voici un texte que j’ai trouvé par hasard et quand je l’ai lu, il m’a coupé le souffle tellement cela rejoint mon expérience et ma vision de la vie.
L’avoir écrit moi-même, pas un seul mot n’aurait été changé !
– Patrick Dufficy –
« Pendant des années, j’ai attendu que ma vie change, mais maintenant, je sais que c’était elle qui attendait que moi je change. » – Fabio Volo, auteur
La vie que je menais ne me correspondait plus et au fond, elle ne m’a jamais vraiment correspondu. Depuis de nombreuses années, je cherche ce que je dois faire. Il y a une pression sociale énorme sur nous qui nous pousse à rentrer et rester stagnant dans un moule qui supposément est la solution universelle qui correspond à tout le monde. Il faut absolument «faire» quelque chose de sa vie. Il faut «devenir» quelqu’un dans la vie. Il faut «réussir» sa vie. Il faut «gagner» sa vie. Tout ça, pour quoi au juste? Pour survivre? Pour se faire aimer par les autres? Pour faire partie d’un clan? Pour assouvir notre besoin de sécurité? Pour espérer être heureux? Pour être reconnu?

Plus jeune, je ne remettais pas en question toutes ces croyances collectives parce que je m’amusais. Je n’avais même pas conscience que les adultes vivaient toutes ces préoccupations. Je vivais ma vie tout simplement. Sans préoccupation d’avoir une vie parce que je savais une chose… que j’étais en vie. Je l’avais ma vie. J’étais heureuse de l’avoir. Je profitais de cette chance et de ce miracle d’être en vie.
En vieillissant, à l’école et au sein de ma famille, on m’encourageait à penser, à douter, à réfléchir, à méditer, à remettre en question les choses, à développer mon esprit critique, à défendre mes opinions, à prendre ma place… C’est grâce à toutes ces actions que maintenant, j’ai pris conscience que toutes ces croyances n’avaient pas de sens. J’ai constaté qu’on ne réalise pas une notion bien simple de la réalité… ON N’A PAS À GAGNER NOTRE VIE, ON L’A DÉJÀ!
Il y a de ces moments si intenses qui nous chavirent complètement. Il y a de ces imprévus improbables, mais possibles qui se présentent dans notre vie et qui transforme tout… même nous-même.
Après tout cela, la vie n’est plus pareille qu’auparavant et nous non plus. Nos priorités, nos désirs, nos perceptions, nos besoins et notre vision de la vie changent pour de bon. C’est alors que les changements s’opèrent. C’est alors que tu ne veux pas la vie que la société propose : le rêve américain. Je suis du même avis de John D. Rockefeller : « Pour réussir, il faut trouver de nouvelles voies plutôt que de parcourir les chemins usés. »
Dans notre société actuelle, on travaille tellement fort pour devenir quelqu’un qui n’est pas nous véritablement parce qu’on ne s’accepte pas et qu’on ne s’aime pas. On y laisse sa santé, son temps, son énergie, son bonheur. On y laisse tout et ce tout est l’essentiel que nous perdons sans même nous en rendre compte. On est toujours en compétition avec les autres et ce, depuis la maternelle. On pense à soi uniquement dans cette jungle chaotique où les priorités ne sont pas à la bonne place. On étudie fort, on déniche un travail, on se case avec quelqu’un (qui parait bien et qui correspond à nos innombrables critères préférablement), on a des enfants, on a une maison (la plus grosse préférablement), on a une voiture (la plus belle préférablement), on travaille fort, on stress, on vit à un rythme de vie trop vite parce que nous devons consommer toujours plus afin de combler plein de vides et pour faire plaisir à tout le monde. Ensuite, les enfants partent de la maison en répétant le même mode de fonctionnement. On perpétue ce mode de vie, au fil des générations. On espère pouvoir vivre aisément à notre retraite et être finalement heureux (bref vers la fin de sa vie), mais souvent la maladie ou d’autres épreuves arrivent et, un moment donné, la mort nous frappe… beaucoup trop vite parce qu’au fond, on n’a jamais vécu vraiment la vie… notre vie.
Est-ce que c’est ça le sens de la vie?
Est-ce que l’être humain doit vraiment vivre de cette manière?
Comme disait John Lenon: « Quand je suis allé à l’école, ils m’ont demandé ce que je voulais être quand je serai grand. J’ai répondu : heureux. Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, j’ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie. » Avec ce moule standard qui renforce l’individualisme et alimente le capitalisme, on croit être heureux et que la vie c’est ça. On donne notre pouvoir aux autres, on surconsomme pour combler nos manques et notre mal-être, on dénature le sens de notre vie. Nous croyons être au-dessus de tout parce qu’on croit être invincible. Ce cocon de sécurité et de confort durement acquis renforce cette perception d’invincibilité. On ne vit pas, on est des robots qui doivent être parfaits absolument, sinon on n’est rien.
Depuis les dernières années, j’ai été confronté à des épreuves qui m’ont ouvert les yeux sur ce triste constat de la vie humaine. J’ai accompagné des gens dans des souffrances inhumaines dénaturées de sens où la vie n’avait plus de valeur. J’ai côtoyé des personnes qui ont tout perdu (même leur vie) pour avoir pris ce chemin que je qualifie d’autodestructeur. Je n’ai pas eu besoin d’aller à l’autre bout du monde pour constater tout ce non sens. Juste dans ma propre famille, dans mon propre entourage, à mon travail, à mon école, dans la rue… C’est quand j’ai accompagné des membres de ma famille et d’autres personnes de mon entourage dans ce chemin irréversible que je me suis fait une promesse : NE JAMAIS PRENDRE CE CHEMIN DE DESTRUCTION. J’avais les meilleurs exemples à ne pas suivre.
Alors, comment réinventer sa vie?
Dans mon cas, je devais partir. Faire un voyage. Partir à l’aventure. Risquer. Oser. Changer d’environnement et d’air. Revoir des gens que j’aime, ailleurs dans le monde. Réfléchir et prendre du recul. Bâtir de nouveaux projets. Trouver une quête de sens de la vie, de ma vie et de mon existence. Comme plusieurs, je suis en quête de qui je suis véritablement et entièrement. Je ne suis tout simplement plus capable de vivre dans une réalité où la vie n’a pas de sens majeur.
Nous ne nous posons pas la bonne question. Ce n’est pas : qu’est-ce que je dois faire ou qu’est-ce que je veux faire? C’est plutôt : qui suis-je? Parce qu’au final, ce qui est important c’est ÊTRE et non FAIRE. C’est VIVRE et non AVOIR. Comme disait l’actrice Mirna Loy : « La vie ce n’est pas avoir et obtenir, mais bien être et devenir. » La preuve, sur votre lit de mort, quelques instants avant de mourir, vous n’allez pas vous remémorez tous les diplômes, les médailles, les trophées, les exploits professionnels que vous aurez reçus et accomplis. Vous n’allez pas vous remémorez de tous les biens que vous avez possédés, mais les gens que vous aimez, avec qui vous avez passé de bons moments. Vos plus grands regrets seront de ne pas vous être réconcilié avec telle personne, de ne pas avoir accompli vos rêves ou de ne pas avoir assez exprimé à quel point vous aimez telle personne. C’est aussi simple que cela! Finalement, l’humain a des priorités tellement fondamentales et essentielles.
Comme dirait l’écrivain Roger Mondoloni : « Le sens de la vie, c’est de tout risquer pour aimer. » Ce n’est surtout pas de choisir le chemin de sécurité pour essayer d’aimer. »
L’autre jour, je parlais avec une de mes amies et je lui disais que finalement, je n’étais pas une personne ambitieuse, car mon seul objectif est de VIVRE. Vivre ma vie simplement en harmonie avec la nature et les gens que j’aime. En discutant avec elle, j’ai réalisé que c’était tout un objectif et que c’était une grande ambition dans le monde dans lequel on vit présentement.
Assumer de prendre sa voie, c’est rayonner notre plein potentiel humain. Oser vivre autrement, parfois à contre-courant et être différent, c’est se donner le droit d’être qui on est, d’exister et de vivre véritablement.
Auteur: Sarah Lussier
Source: LESNERDS.CA
Êtes-vous visuel, auditif ou kinesthésique?
Voici un article très intéressant de mon ami Mari.
La musique à toujours été importante dans ma vie. Elle va bien avec mon caractère plutôt joyeux et positif. Elle m’aide à voir la vie du bon côté. Et je l’aime aussi pour danser et pour chanter. C’est vraiment amusant. Elle stimule mon cerveau. Elle active mon imagination et me donne de l’énergie…
Source : Êtes-vous visuel, auditif ou kinesthésique? « La valise du calibre
LE RAGOT MEURT QUAND IL ARRIVE À L’OREILLE D’UNE PERSONNE INTELLIGENTE
Le ragot meurt quand il arrive à l’oreille d’une personne intelligente
Le mécanisme fonctionne souvent de la même manière : un hypocrite crée une rumeur pour qu’elle se diffuse et l’ingénu y croit sans résistance.
L’épidémie des rumeurs se termine uniquement lorsqu’elles arrivent aux oreilles d’une personne intelligente, jusqu’à ce cœur vacciné qui n’écoute ni ne répond à ce qui n’a pas de sens.
Dans un livre publié en 1947 par le psychologue social Gordon Allport et intitulé « La psychologie des rumeurs », il nous explique quelque chose de très curieux : les ragots servent à faire cohésion dans les groupes de personnes et à se positionner vis à vis de quelqu’un.
De même, ces comportements sont agréables, libèrent des endorphines et luttent contre le stress.
La langue n’a pas d’os et elle est pourtant assez forte pour faire du mal et empoisonner à travers de ragots et de rumeurs.
Un virus mortel est éradiqué uniquement lorsqu’il arrive aux oreilles d’une personne intelligente.
Le commérage se transforme souvent en un mécanisme de contrôle social qui octroie un certain pouvoir à qui le pratique.
Il se situe au centre de l’attention du groupe de personnes réceptives à n’importe quelle rumeur, à n’importe quelle information tordue qui leur permet de sortir de leur routine et de profiter de cette nouvelle stimulation en guise de distraction.
Comme on le dit souvent, les commères ne savent pas être heureux. Ils sont beaucoup trop occupés à camoufler leurs amertumes dans des tâches vaines et superflues qui valident inutilement leur auto-estime.
Nous vous invitons à réfléchir à cela.
La psychologie du ragot implacable
La psychologie du ragot et des rumeurs est tout à fait d’actualité. Pensons, par exemple, à la rapidité que met à se propager une rumeur fondée ou infondée dans le monde des réseaux sociaux.
Internet est déjà un véritable cerveau où les données poussent comme des neurones interconnectés pour nous nourrir d’une information qui n’est pas toujours vraie ni respectueuse envers les autres.
D’autre part, les experts en marketing et en publicité donnent souvent comme exemple de la « rumeur fatale et implacable » le cas du soda « Tropical Fantasy ».
Sorti sur le marché en 1990, il a eu un succès quasi immédiat aux États-Unis, jusqu’à ce que soudain, surgisse une rumeur aussi terrifiante qu’absurde.
On disait que ces sodas bon marché avaient été créés par le Ku Klux Klan dans un but très clair.
Leur faible coût permettait qu’une grande partie de la population afro-américaine aux faibles ressources y ait accès.
Dans sa recette, se cachait soi-disant un objectif bien sombre : abîmer la qualité du sperme des Afro-américains pour qu’ils ne puissent plus avoir d’enfants.
Personne ne sait pourquoi ou qui a démarré la flamme de cette rumeur, mais l’impact fut désastreux.
La marque « Tropical Fantasy » a mis des années à s’en remettre, à tel point qu’encore aujourd’hui, ils n’oublient jamais d’inclure des personnes noires dans leurs publicités.
Même en sachant que ce n’est pas vrai, l’empreinte émotionnelle perdure. C’est l’exemple clair de l’une des rumeurs qui a eu le plus d’écho dans le monde.
Se défendre des rumeurs et des ragots
Que nous le voulions ou pas, notre société est construite sur des relations de pouvoir où les rumeurs sont de véritables armes à feu.
Les vérités manipulées sont utiles pour de nombreuses personnes, qui réussissent à trouver une place grâce à elles et en obtiennent des bénéfices très concrets.
Ainsi, il est nécessaire que nous soyons toujours cette oreille intelligente qui agit comme une barrière, qui freine les offenses, le non-sens, l’information fausse et l’étincelle de cet incendie qui veut toujours emmener quelqu’un avec lui.
Pour mieux comprendre ces processus psychologiques si communs dans nos contextes sociaux, nous vous proposons de tenir compte des piliers qui soutiennent la psychologie complexe de la rumeur, de la commère et du naïf qui la répand.
La sagesse populaire nous dit toujours que pour briser une chaîne, il suffit d’éliminer un maillon.
Si la rumeur agit comme un véritable virus dans notre environnement professionnel, dans notre famille ou dans notre cercle de connaissance, il est nécessaire de nous aider de personnes de confiance pour qu’elles agissent comme des barrages de contention.
- Les rumeurs se diffusent quand il y a quelqu’un qui souhaite faire son beurre sur notre dos. Face à ces comportements, nous pouvons agir de deux manières : soit en faisant la sourde oreille face à l’absurde, soit en agissant avec assertivité, en mettant des limites et en éclaircissant les choses.
- Nous devons être conscient que dans toute organisation, communauté de voisin ou groupes de collègues ou d’amis, il y aura un « ragoteur » officiel, c’est à dire un amoureux des rumeurs.
- Nous devons toujours être intègre, transparent et ne pas alimenter ce type de comportements en propageant le virus de la rumeur ou du ragot. Il est nécessaire de savoir également qu’il n’est pas facile de discréditer une rumeur, car les mots ne suffisent pas toujours.
Il faut parfois des faits forts pour discréditer ou démontrer l’invraisemblable de cette rumeur.
Les langues fourchues nous accompagneront toujours d’une manière ou d’une autre, alors la meilleure des choses à faire est d’éviter d’être l’une d’entre elles et de se souvenir que les rumeurs sont pour la vermine et l’information pour les oreilles sages.
Source : nospensees.fr
Dix personnes toxiques à éviter à tout prix | Nuage Ciel d’Azur
Reconnaitre les personnes toxiques qui vous empêchent d’avancer, qui nous paralysent dans notre cheminement est important pour éviter de tomber dans leur jeu et si possible les éviter. Lire la suite…
Source : Dix personnes toxiques à éviter à tout prix | Nuage Ciel d’Azur
Les bienfaits de la solitude
Tu vis dans un monde de continuelle connexion aux autres avec la multiplication des réseaux sociaux. Les distances s’effacent et la solitude devient finalement rare. À être constamment connectée aux autres, tu en perds la connexion avec toi-même. Or, la solitude a des bienfaits à ne pas négliger : en voici 3 exemples.
1. Lâcher prise

La solitude est un moment qui permet de lâcher prise, de laisser tomber ce masque que tu affiches en public. Toutes les limites disparaissent et tu peux être celle que tu es vraiment. C’est le moment où tu te connectes avec toi-même et deviens une grande scénariste en laissant aller tes pensées et ton imagination.
2. Se construire

C’est lorsque tu es seule que tu prends conscience de la personne que tu es réellement, du chemin que tu as parcouru. C’est là que tu prends le temps d’analyser tes expériences, tu prends du recul sur ton vécu et apprends de ton passé pour mieux vivre ton présent et construire ton futur.
3. Être bien avec soi pour mieux vivre avec les autres

Si tu es bien avec toi-même, tes relations avec les autres seront plus fluides et plus saines. Les relations peuvent facilement devenir addictives, surtout avec le développement des communications. Et si pour une raison ou une autre, une personne avec qui tu es très souvent connectée n’est pas disponible. Cela peut vite devenir agaçant, voir même une source de dispute. Or, en apprenant à être à l’aise avec la solitude, tu n’auras plus cette dépendance à l’autre et tu apprécieras d’autant plus les moments passés avec tes proches.
« Je pense qu’il est très sain d’apprendre à se retrouver seul. Tu dois apprendre à être bien avec toi-même et ne pas te définir par quelqu’un d’autre. » – Oscar Wilde
Source: http://femmedinfluence.fr
La contamination de l’amour
« Je crois en une contamination de l’amour, de la bienveillance, de la douceur et de l’intelligence. Chaque fois qu’on pose un acte de tendresse, d’affection, d’amour, chaque fois qu’on éclaire quelqu’un en lui donnant un conseil, on modifie un tout petit peu l’avenir de l’humanité dans le bon sens. Et chaque fois qu’on dit une vacherie, qu’on commet une méchanceté, et qu’on les répète, on fait perdre du temps aux progrès humains. Que chacun cultive le plus grand nombre possible de ressentis et d’actes positifs est donc vital pour tout le monde. »
– Christophe André
Recommencer…
La manière dont nous nous levons le matin est d’une importance primordiale. Nos premières pensées éveillées détermineront le cours de notre journée, de là l’expression « Je me suis levé du mauvais pied ».
Lorsqu’on se lève le matin, 3 choix s’offre à nous:
- Nous pouvons recommencer ce que nous faisions la veille uniquement par peur du changement.
- Nous pouvons également recommencer les mêmes choses que la veille, mais cette fois-ci parce que nous avons un but qui vaut vraiment la peine de continuer ce que nous faisons.
- Nous avons finalement le choix de recommencer une nouvelle journée différemment pour changer quelque chose dans notre vie.
Un des traits communs aux êtres humains est la peur du changement. Pourquoi avoir peur du changement ? Parce que le changement mène vers l’inconnu et l’insécurité, ce qui provoque un mécanisme de défense ; « la peur ».
Le mot PEUR en anglais se dit FEAR et un merveilleux acronyme de ce mot est : « False Evidence Appearing Real », qui veut dire en français : « une fausseté que l’on prend pour la réalité ».
Les vrais mécanismes de peur sont matériels, face à un danger existant physiquement. Par exemple, quand la peur vous gèle face à un ours en pleine forêt, ou bien lorsque vous avez peur de traverser une rivière déchainée… Dans ces cas-là, la peur peut réellement vous sauver la vie. 🙂
Ici, nous parlons plutôt de peurs imaginaires. Avoir peur de quelque chose qui n’est pas encore arrivé et qui n’arrivera peut-être jamais… C’est totalement illogique, mais c’est la manière de penser la plus commune.
Donc, les choix 2 et 3 sont les moins choisis parce qu’ils impliquent de faire face à de l’inconnu… Recommencer où vous avez échoué la veille ou prendre un chemin complètement différent, dans les deux cas le résultat n’est pas connu à l’avance.
Tout cela pour dire… En vous levant le matin, prenez une grande respiration, ayez de la gratitude pour tout ce que vous avez et commencez votre journée avec la résolution d’avancer ne serait-ce que d’un petit pas vers la vie que vous voulez vraiment vivre.
Je vous souhaite une excellente vie.
Namasté.
Comment les situations difficiles vous changent-elles ?
Un jour, une jeune fille s’approcha de son père et lui dit, avec tristesse :
— Papa ! Tout me fatigue ! J’ai beaucoup de problèmes au travail et je suis à bout de forces. Que puis-je faire ?
Son père lui répondit :
— Je vais te montrer.
Il mit sur le feu trois casseroles avec de l’eau. Il mit une carotte dans l’une des casseroles, un œuf dans l’autre, et du café dans la dernière. Ensuite il ajouta un ingrédient dans chaque récipient. Quelques minutes plus tard, il éteignit le feu et demanda à sa fille :
— Que s’est-il passé avec ce que j’ai mis sur le feu ?
— Et bien, la carotte a cuit, l’œuf aussi. Le café s’est dissous, répondit la fille.
— C’est vrai, répondit le père, mais si tu regardes de plus près, tu verras que la carotte, qui était dure, est devenue molle, flexible ; l’œuf, qui avait l’air si fragile et délicat, est devenu dur. Ça veut dire que même s’ils ont le même aspect qu’avant, l’eau bouillante les a changés à l’intérieur, chacun à sa manière a évolué face à la même situation. C’est pareil avec les gens. Ceux qui sont forts peuvent devenir très faibles, et les plus désarmés et délicats peuvent devenir durs et solides…
— D’accord, et le café ? demanda la fille, curieuse.
— Ah, alors le café c’est le plus intéressant. Il s’est complètement dissous dans une atmosphère hostile et il l’a changée, il a transformé l’eau bouillante en une délicieuse boisson aromatique. Il y a des personnes qui, voyant qu’ils ne peuvent se sortir d’une situation déterminée, décident de la transformer complètement en quelque chose de positif, donnant tout d’elles-mêmes pour en faire quelque chose de meilleur. Chacun choisit en quoi il va se transformer lorsqu’il vit une situation difficile.
– Auteur inconnu
Êtes-vous au « neutre » dans votre vie ?
Dans le livre Slight Edge de Jeff Olson, on explique que dans la vie nous avançons ou nous reculons, il n’y a pas de position neutre. Si vous vous croyez au neutre, parce que votre vie est stable, vous avez un emploi stable (si ça existe encore de nos jours), votre vie familiale va bien, votre santé également, vous mangez généralement bien, tout va bien.
Malgré cette belle image de stabilité, elle ne sera qu’illusion si vous ne faites rien pour améliorer votre vie; apprendre un nouveau métier, commencer un nouveau loisir, améliorer la manière de vous nourrir, vous développer personnellement sur différents sujets pour devenir un meilleur parent, être plus performant dans votre carrière ou faire avancer votre propre entreprise, peut-être même créer votre nouvelle entreprise, faire plus d’activité physique, pratiquer un nouveau sport… La liste est infinie !
Mais qu’est-ce qui n’est pas un avancement ?
Faire des heures supplémentaires au travail. – Faire plus d’une même chose n’est pas aller de l’avant. Certains me diront : « C’est un avancement financier puisque je fais plus d’argent !».
Est-ce vraiment un avancement dans VOTRE VIE de faire une plus grosse paie et de l’autre côté de la médaille vous passez plus de temps au travail et donc moins de temps pour vos loisirs, votre famille, vos apprentissages personnels, etc. ? Vous avez seulement plus d’argent et/ou de matériel, mais moins de temps pour en profiter. Ce n’est pas avancer, c’est plutôt reculer !
La télévision. – Tout ce qui a trait à la télévision est un anti-développement. À moins que ce soit une émission instructive comme un documentaire, un film historique ou n’importe qu’elle émission qui vous apprend quelque chose de constructif. La télévision n’est qu’un « bouffeur» de temps. Le pire est que 33% de votre temps passé devant la télé est consacré à vous faire « laver le cerveau », je parle ici des publicités. La pub est créée pour vous faire consommer quelque chose que vous n’avez pas vraiment besoin réellement. Donc, perte de temps et collatéralement, perte d’argent aussi.
Beaucoup me diront que la télé entre dans la catégorie des loisirs… est-ce vraiment un loisir qui vous amène un certain avancement dans votre vie ?
Pour trop de gens la télévision est simplement qu’une dépendance qui vous enlève du temps pour faire des bonnes choses.
À bien y penser, le téléviseur est un outil qui peut être utilisé correctement ou incorrectement, mais la grande majorité l’utilise comme un vice et non comme un outil constructif.
Des loisirs non constructifs. – Je viens tout juste d’expliquer un des loisirs le plus répandu dans l’exemple précédent de la télévision.
Certains loisirs sont même nuisibles ou destructeurs, mais je ne les énumérerai pas ici. Vous avez surement tous une petite idée de loisirs nuisibles.
Un emploi ou une carrière monotone. – Je parle ici d’un travail répétitif et/ou ennuyeux où vous faites la même chose à tous les jours. Prenons exemple d’un travail sur une chaine de montage où vous avez une formation la première journée et vous répéter ce que vous avez appris à tous les jours. Quelqu’un qui me dirait qu’il a dix ans d’expérience à ce travail, je lui répondrais qu’il a plutôt une journée d’expérience répétée pendant dix ans.
Surtout ne soyez pas offensé par mon exemple, la monotonie se retrouve dans presque tous les emplois à différents niveaux. Autre exemple, ma femme a été comptable dans des entreprises privées, elle répétait le même travail à tous les mois et quelques activités annuelles… identiques à chaque année !
Je sais très bien que tout travail a en quelque part une routine qui revient périodiquement. Le problème ici est quand la majorité de votre vie est consacré à ce travail et qu’il ne vous reste presque aucuns moments de liberté.
- Toutes activités qui en fin de compte n’apporte aucuns avancements dans votre vie et qui en plus viennent vous enlever autres choses (temps, argent, santé, etc.)
Deux dimensions : le temps et le mouvement.
Le temps est le moment présent.
Que faites-vous en ce moment même pour vous améliorer ? (vous lisez ce texte donc vous êtes sur une bonne voie 🙂 ) Ce que vous avez fait dans le passé ne vous sert que de leçons et le futur, vous ne le connaissez pas encore, pas besoin de faire toutes sortes de spéculations. Cependant, le futur sera le reflet de ce que vous faites dans le moment présent. Donc, tout revient au MAINTENANT, le reste n’a pas vraiment d’importance.
Le mouvement est la direction et la vitesse.
Souvent lorsque nous examinons notre présent, ce présent a l’air immobile. Un peu comme une photographie d’avion en plein ciel, sur la photo l’avion semble arrêté dans le temps, mais en réalité il est bien en mouvement, il a une direction et il va à 1000 km/h !
Avez-vous une direction à votre vie ? Imaginez que ce même avion devienne immobile, qu’arriverait-il ? Il tomberait et s’écraserait en flammes !
La même chose pour vous, si vous n’avez pas de direction et de mouvement, vous tomberez. Vous devez être en mouvement pour prendre de l’altitude. Si vous arrêtez d’avancer en vélo, je vous souhaite bonne chance pour rester debout (à moins d’être un équilibriste).
Êtes-vous vraiment satisfait de votre vie présentement ?
Posez-vous sérieusement la question si vous êtes en mouvement et plus important encore, vers quelle direction allez-vous ? Vous dirigez-vous dans une direction qui vous fait grandir ou qui vous fait régresser ?
La chose qui influence le plus notre direction n’est pas nos antécédents, ce n’est pas notre éducation ou notre manque d’éducation, pas plus que notre ethnie. Ce qui influence le plus notre direction c’est notre environnement. Que vous le voulez ou non votre environnement influence ce que vous devenez. Par environnement j’entends les personnes avec qui vous vous associez, vos collègues de travail, votre famille, vos amis également ont cette influence sur vous. En général, votre vie ressemblera à la vie des personnes avec qui vous passez le plus de temps. C’est prouvé !
Comme une voiture !
Garder une bonne voie dans votre vie n’est pas une tâche facile. Cela ne se fait pas par magie. Lorsque vous conduisez une voiture sur une route parfaitement droite, pouvez-vous simplement bloquer le volant après avoir bien centré la voiture avec la route pour que celle-ci suive le chemin ? Tous les conducteurs de véhicules routiers vous diront que c’est impossible. En effet, pour rouler en ligne droite nous devons constamment ajuster notre direction à cause des influences extérieures; l’état de la route, sa légère inclinaison souvent invisible à l’œil, le vent et également l’état de la voiture elle-même.
Exactement le même phénomène se produit dans votre vie. Vous devez toujours ajuster votre direction si vous voulez atteindre un but, une destination. Une tonne d’influences extérieures et intérieures vont tenter de vous faire dévier de votre voie.
C’est probablement une des principales raisons pourquoi tant de gens préfèrent une vie de stagnation. Ils préfèrent la sécurité de ne jamais prendre leur voiture et ainsi n’avoir aucuns risques d’accrochages.
Affronter les risques de la route pour atteindre votre destination ou rester à la maison dans votre petit confort, c’est un choix que vous êtes libre de faire.
Cependant, si vous n’êtes pas satisfait de votre présente situation, mais continuez de faire les mêmes choses qui vous ont emmené dans ce présent, ne venez surtout pas vous plaindre !
Tout le monde a le choix de mettre la clé dans le contact et décider de prendre la direction d’un futur qui sera différent et surtout meilleur.
Comme l’a si bien dit Albert Einstein :
« La définition de la folie est de répéter les même choses jour après jour et espérer des résultats différents. »
Oui, il est certainement possible de faire une vie complète sans vraiment avancer, ou plutôt tourner en rond, de là l’expression d’être comme dans une roue de hamster.
La question est : Rendu à votre dernière heure sur cette Terre, voulez-vous avoir vécu une vie qui en a valu la peine, une vie pleine de challenges et de grandes satisfactions, une vie où vous avez fait une différence pour quelqu’un ou pour un peuple entier, une vie où vous n’avez pas de regrets et que vous êtes prêt à partir l’esprit en paix ?
Je vous souhaite à tous une EXCELLENTE VIE !
Dis papa, quel est le secret pour être heureux ?
Un enfant demande à son père : « Dis papa, quel est le secret pour être heureux ? »
Alors le père demande à son fils de le suivre.
Ils sortent de la maison, le père sur leur vieux cheval et le fils suivant à pied.
Les gens du village dirent : « Mais quel mauvais père qui oblige ainsi son fils d’aller à pied ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Le lendemain ils sortent, le père ayant installé son fils sur le cheval et lui marchant à côté.
Les gens du village dirent alors : « Quel fils indigne qui ne respecte pas son vieux père et le laisse aller à pied ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Le jour suivant ils s’installent tous les deux sur le cheval avant de quitter la maison.
Les villageois commentèrent en disant : « Ils ne respectent pas leur bête en la surchargeant ainsi ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Le jour suivant ils partent en portant eux-mêmes leurs affaires, le cheval trottinant derrière eux.
Cette fois les gens du village y trouvent encore à redire : « Voilà qu’ils portent eux-mêmes leurs bagages maintenant ! C’est le monde à l’envers ! »
« Tu as entendu mon fils ? Rentrons à la maison. »
Arrivés à la maison, le père dit à son fils : « Tu me demandais l’autre jour le secret du bonheur. »
« Peu importe ce que tu fais, il y aura toujours quelqu’un pour y trouver à redire. »
« Fais ce que tu aimes et tu seras heureux ! »
Conte ancien inspiré de Kalila wa-Dimna