Ah, tu sais, ce n’est pas à mon âge que…
Ce vieux sujet de l’âge. Ces conversations interminables avec tous ces gens qui n’acceptent pas de vieillir, mais qu’est-ce que vieillir ? Je n’ai jamais vraiment compris ces personnes qui tombent presque en dépression le jour de leur 30 ans, et 40, puis le coup de mort… 50 ANS !!! Je ne parlerai pas des 60, 70 et 80. Je ne comprends pas ce qui arrive de si affreux en ce jour d’anniversaire… ce n’est qu’un chiffre, une journée de plus depuis la veille !! J’ai le gout de rire aux éclats quand quelqu’un me dit qu’il vient de vieillir d’un an… Tout d’un coup, le jour de sa fête… BOOM !! Elle a vieilli d’un an !!
J’ai lu récemment à propos d’une théorie qui explique que tous ce que vous croyez sur le vieillissement, vos attentes et vos croyances détermineront votre expérience de ce vieillissement. Devons-nous accepter une notion comme quoi prendre de l’âge est absolument relier à une détérioration du corps et du mental ? J’aime bien l’expression qui dit que je ne laisserai jamais une vieille personne entrer dans mon corps. Autrement dit, je ne veux pas de « mentalité de vieux ». lire plus…
Une petite histoire: « Une dernière maison! »
Un vieux charpentier était en âge de prendre sa retraite. Il fit part de ses projets à son patron : il souhaitait quitter son travail pour couler des jours paisibles en compagnie de son épouse. Certes, son salaire leur manquerait, mais ils pourraient se tirer d’affaire.
Le patron, triste de perdre un aussi bon ouvrier, lui demanda de construire une dernière maison : «Au titre d’une faveur personnelle», le pria-t-il.
Le charpentier accepta, mais au fil des jours il devint évident que son cœur n’était pas à la tâche. Il opta pour des matériaux de qualité inférieure et bâcla son ouvrage. Quelle triste fin pour une carrière aussi remarquable !
Le travail une fois terminé, l’employeur vint inspecter la maison, puis lui tendit les clefs en disant : « Cette maison est à toi. C’est mon cadeau d’adieu. »
Ces paroles lui portèrent un coup au cœur ! Quel gâchis ! Si seulement on lui avait dit que c’était sa propre maison qu’il construisait, il s’y serait pris bien autrement.
Ainsi en est-il pour chacun de nous. Nous bâtissons notre vie jour après jour, sans toujours mettre tout notre cœur à l’ouvrage. Puis nous sommes stupéfaits d’apprendre que nous devons vivre dans la maison que nous avons construite.
Si seulement nous pouvions recommencer, nous nous y prendrions bien autrement. Mais il nous est impossible de revenir en arrière.
Vous êtes le charpentier de votre vie. Chaque jour, vous plantez un clou, ajoutez une planche ou élevez un mur… Vos attitudes et vos choix d’aujourd’hui bâtissent votre maison de demain. Alors, ne manquez pas de mettre votre cœur à l’ouvrage !
Auteur inconnu
Colère après la fusillade en pleine mosquée à Québec !
Officiers de police près de la mosquée suite à la fusillade à Québec. REUTERS/Mathieu Bélanger
« Un acte terroriste dans notre petite ville paisible de Québec, comme est-ce possible ? »
C’est la réaction la plus répandue de la population locale au lendemain de l’attentat. En général c’est de l’incompréhension, mais surtout de la colère malheureusement.
Pour une rare fois je suis d’accord avec un commentaire du maire de Québec Régis Labeaume. « Aucun être humain ne devrait payer de sa vie par le fait de sa race, de sa couleur, de son orientation sexuelle, de sa croyance religieuse. »
Auparavant considéré comme « zone de paix », le Canada est de plus en plus le théâtre d’actes à caractère raciste, comme des murs de mosquées aspergées de sang de porc ou des autocollants haineux dans des quartiers d’immigrants.
Personnellement, je suis extrêmement attristé des évènements, mais surtout de constater que c’est encore une motivation à faire naitre et renaitre des élans de racisme.
J’ai dû arrêter de lire les commentaires sur les médias sociaux ce matin tellement ce n’était que de la haine, de la rancune et une soif de vengeance.
Le mal a encore gagné une partie, mais nous sommes malgré tout plusieurs petits groupes au Québec et à travers le monde à envoyer des ondes d’amour pour aider à contrecarrer cette monter de haine.
Je comprends que la grande majorité des gens se sentent enragés face à cet événement et croient insensé d’avoir des pensées d’amour en de tels moments, mais n’oubliez jamais que la colère ne fait qu’alimenter la haine.
« On ne peut éliminer l’obscurité avec encore plus de noirceur. Seule la lumière peut en venir à bout. »
Je pris pour les familles et les proches des victimes.
Patrick
Les guerres sont-elles nécessaires ?
À la suite de mon dernier article, ma femme m’a fait un commentaire qui m’a amené à réfléchir sur un problème que ma vision d’un futur parfait ne voyait pas !
Si l’humanité en arriverait à vivre en paix et qu’il n’y aurait plus de guerres, est-ce que le problème de surpopulation deviendrait une catastrophe ?
Imaginez, nous avons déjà un problème de surpopulation même si des milliers de vies sont perdues chaque jour à cause des guerres, attentats, meurtres, suicides…
Survolons quelques chiffres.
En 2011, nous avions environ 360 000 naissances contre 151 600 décès quotidiennement. Autrement dit, 4 naissances contre 2 décès chaque seconde !!
Déjà, nous constatons un problème réel, mais là où ça se complique c’est dans le calcul d’une réalité sans morts « non naturelles » ou presque.
Comme je le mentionnais quelques lignes plus haut, nous avons les décès dû aux guerres, aux attentats, aux meurtres et aux suicides… jusque-là c’est quasi calculable. Le calcul devient impossible quand on pense aux décès « collatéraux » qui subsisteraient… les personnes qui vivraient plus longtemps que dans notre réalité à cause de leur style de vie plus sain.
C’est un fait, le stress tue. Le stress amène à manger mal et à développer toutes sortes de maladies, souvent mortelles. Le stress incite aussi des gens à prendre des risques, comme la rage sur les routes. Les décès « non naturels » provoquent quelques fois des dépressions chez les êtres proches qui peuvent à leur tour trouver la mort de différentes manières.
En 2012, 68% du total des décès étaient dû à des maladies cardiovasculaires, cancers, diabète et maladies pulmonaires chroniques.
Et j’oubliais presque les naissances supplémentaires qui résulteraient d’un train de vie plus positif et moins stressé…
Le but n’est pas de vous faire tourner la tête avec plein de chiffres. Il est toutefois facile d’assumer que nous pourrions au moins couper la poire en deux.
Donc… à la seconde : 4 naissances et seulement 1 décès.
Du 4 pour 1 et peut-être pire encore, ma prédiction n’a rien de scientifique. 🙂
……
Je suis sans mots devant ce paradoxe.
Est-ce que notre destin est d’en arriver à une quasi-extinction afin d’éliminer cette surpopulation et de repartir sur de meilleures bases ?
Est-ce que nous devrons avoir un contrôle des naissances ? Personnellement je ne crois pas que plus de contrôle aiderait à faire durer la paix.
Quelle est votre avis là-dessus ?
Croyez-vous qu’un monde en paix est simplement impossible ?
Voici un court article que j’ai trouvé sur la surpopulation: Surpopulation mondiale : quelles sont les conséquences possibles ?
Le patriotisme, une union de division !
Alors que j’assistais à une conférence de développement en leadership en juillet 2016, je me suis fait surprendre par un sentiment nouveau. Peut-être un signe d’une évolution, d’une nouvelle façon de penser.
LA FIERTÉ NATIONALE
Au début de ces conférences, il est coutume de chanter les hymnes nationaux des pays participants. Ce weekend en particulier avait lieu aux États-Unis et nous avons eu droit aux hymnes canadien et américain.
Je n’ai jamais eu d’énorme fierté patriotique en ce qui concerne l’hymne national de mon pays le Canada, comme la grande moyenne des gens probablement. Il fut un temps où j’enviais énormément le patriotisme américain, j’enviais leur fierté… mais en cette soirée d’été cette notion sembla bouleversée.
Pour la première fois, j’avais le sentiment que le patriotisme et la fierté envers sa nation n’était pas si bien que ça.
J’avais plutôt le sentiment de vouloir être un citoyen de la Terre… Un membre de la race humaine. Le hasard a fait que je vienne au monde au Canada. Pourquoi serais-je plus ou moins important qu’une autre personne d’un autre pays ? Qui a le droit de décider de la valeur des citoyens de tel ou tel nation ?
Aujourd’hui, je réalise que ce patriotisme est une raison pourquoi certains peuples sont souvent détestés des autres. Est-ce de la jalousie ou de l’envie, peut-être, je ne sais pas, mais ce que je sais c’est qu’une fierté débordante est souvent interprétée comme de la vantardise.
Nous avons tous été en présence à un moment donné de quelqu’un qui ne cesse de parler de lui, comme il est beau, intelligent et meilleur que tout le monde. Tout le monde fini par s’éloigne d’une telle personne et n’ont pas de bons mots à son sujet.
La fierté est le langage de l’égo et une des raisons qui sépare la race humaine.
Toutes nos divisions nous rendent tellement faible sur un plan global, nous nous détruisons au lieu de s’aider. Pourquoi des êtres dotés d’une si grande intelligence ne comprennent pas que ces séparations vont finir par détruire la race humaine ?
Nous avons tous vu de nombreux films où des conflits ou des désastres au niveau planétaire amène les différents peuples de la Terre à s’unir pour s’entraider.
Faut-il vraiment attendre un cataclysme mondial pour se réveiller ? J’espère que non !
J’ai déjà écrit sur un sujet similaire dans l’article « Religion ou Spiritualité ? », mais je sens tellement cette vision (ou peut-être même une mission) s’implanter de plus en plus en moi, j’ai juste le gout de continuer à la partager avec vous.
Le but n’est pas de créer un nouveau culte, loin de là ! Le but est que chacun, individuellement, réalise que le patriotisme, la fierté d’un peuple spécifique, d’une ethnie ou d’une religion (tous ont rapport à l’égo), ne sont que des divisions qui nous séparent et nous emmènent à nous détruire.
POURQUOI TANT DE STRESS DANS NOS SOCIÉTÉS ?
Un grand nombre de gens ne croient plus en rien et leur courte vie sur cette Terre s’accompagne donc d’un stress constant à suivre une recette commune où il y manque un ingrédient important. Nombreux se voient comme des humains ayant des expériences spirituelles quant au fond nous devrions nous voir comme des Êtres spirituels ayant une expérience humaine !
Notre court passage sur Terre est une expérience. Imaginez ce passage comme si ce serait des vacances. Faites donc tout votre possible pour que ces vacances soient agréables et réussies.
Nous sommes dans un cercle vicieux depuis quelques années. Des peuples sont motivés à croire dans les divisions avec les autres peuples. Ils se voient comme des menaces. Cette mentalité erronée créée toutes les horreurs que nous voyons se produire régulièrement sur le globe.
Le cercle vicieux est qu’à chaque acte de violence, la haine augmente dans la conscience collective et la haine ne fait que de produire encore plus de violence.
Tant que nous répondrons à la violence par encore plus de violence, le cercle vicieux de notre destruction ne fera qu’augmenter.
UN CHANGEMENT EN VU ?
Nous sommes dans une période de changement et depuis quelques années, de plus en plus d’humains s’éveillent à penser différemment. Le jour où nous seront assez nombreux à nous considérer comme faisant partie d’une Source de création infinie. Le jour où nous comprendront que nous sommes de passage sur cette Terre afin de faire tout notre possible pour en améliorer la vie de ceux qui y vivent et des prochain qui arriveront. Ce jour-là, nous verrons une véritable paix globale s’installer.
Pour l’instant, continuons à changer un à la fois.
Une personne à la fois peut sembler une tâche impossible quand on pense que nous sommes plus de 7 milliard d’humains sur Terre, mais c’est tout de même un pas en avant.
« Un voyage de mille lieues commence toujours par un premier pas. » –Lao Tseu
Il existe des idées ici et là concernant des projets de sociétés futures basées sur le partage des ressources et non de l’argent. L’argent est un outil qui créé encore de la division entre ceux que l’on dit riches ou pauvres et ceux qui s’en servent bien ou mal.
Une société globale basée sur les ressources éliminerait les situations où des peuples de pays défavorisés vivent dans des conditions inhumaines. Une société qui a pour but de fournir des bonnes conditions de vie à tous les habitants de cette planète avec l’aide de nos connaissances technologique « utilisées correctement. » Une mentalité générale qui ne supporterait pas de voir souffrir un autre être humain.
Nous possédons aujourd’hui les connaissances et la technologie pour que tout le monde sur Terre puissent bien vivre.
J’en conviens, c’est peut-être une image utopique, mais imaginez-vous en train d’essayer d’expliquer à des gens en 1917 à quoi ressemblerait le monde dans 100 ans. Pas une seule personne à qui vous en parleriez ne vous croirait ou penserait ce futur possible.
LE FUTUR…
OU
Image de: Adam Varga
À quoi ressemblera notre monde en 2117 ? Une chose est certaine, nous n’avons aucuns moyens d’imaginer à quel point tout sera différent.
Espérons que cette différence soit dans le sens de cette vision utopique !
Espérons que ce soit vers des améliorations « humaines », parce que si nous ne freinons pas les montées de haine à lesquelles nous assistons un peu partout à travers le monde et la mentalité de l’égo de ne penser qu’à soi… Il n’y aura probablement plus personne dans 100 ans !
TERMINONS POSITIVEMENT !
Comme je ne désire pas terminer sur une note déprimante, personnellement, je suis persuadé que nous nous dirigeons tranquillement vers un meilleur monde. Comme je l’expliquais plus haut, de plus en plus de gens s’éveillent et désirent faire partie du changement. Les médias électroniques sont certainement des outils parmi les plus importants pour ce « réveil ».
Quand j’entends des personnes clamer haut et fort qu’il n’y a que de la merde sur Internet, je sais automatiquement ce que ces personnes recherchent sur le net et dans leur vie aussi probablement !
Ah… Toujours l’histoire de ce verre à moitié plein ou à moitié vide…
L’Internet est une mine d’or de positif… mais de négatif également… Comme pour tout ce qui existe en ce monde.
À vous de choisir de quoi vous nourrissez votre vie !!
Namasté
Un petit conte sur l’honnêteté
La fleur de l’honnêteté.
Une vieille dame, servante du palais depuis de nombreuses années, à l’écoute des commentaires sur les préparatifs, a senti une légère tristesse, car elle sait que sa jeune fille nourrit un sentiment de profond amour pour le prince.
A son arrivée à la maison et après avoir raconté la nouvelle à sa jeune fille, elle est stupéfaite d’apprendre qu’elle voulait aller à la cérémonie et a demandé, incrédule :
– Ma fille, que feras-tu là-bas ? Il s’agit de toutes les plus belles et plus riches filles de la cour. Enlève-toi de la tête cette idée stupide. Je sais que tu souffres beaucoup, mais que la souffrance ne devienne pas folie.
Et la jeune fille répond :
– Non, chère mère, je ne suis pas souffrante et encore moins démente. Je sais que je ne serai peut être pas choisie, mais j’aurai la chance d’être au moins quelques instants près du prince, ce qui me rend déjà très heureuse.
Le soir de la cérémonie, au palais, il y avait, donc, toutes les belles et riches filles, parées de fines étoffes de soie, des plus beaux bijoux et les plus déterminés intentions. Puis, enfin, le prince annonça le défi :
– Je vais donner une graine à chacune de vous. Celle d’entre vous qui, dans un délai de six mois, m’apportera la plus belle fleur, sera alors choisie mon épouse et future impératrice de Chine.
La proposition du prince n’a pas failli à la profondeur des traditions du peuple, qui valorise beaucoup le savoir de « cultiver » quelque chose, que ce soit les traditions, l’amitié, etc. …
Le temps passe et la douce jeune fille, qui n’avait pas beaucoup d’aptitudes dans l’art du jardinage, s’occupe avec grande patience et tendresse de son semis. Puisqu’elle savait que si la beauté de la fleur se présentait avec la même profondeur que son amour, elle n’avait pas besoin de s’inquiéter du résultat.
Trois mois ont passé et la graine n’a toujours pas germé. La jeune fille a tout essayé, en utilisant toutes les méthodes qu’elle connaissait, mais rien n’a poussé. Jour après jour, elle concevait son rêve un peu plus lointain, mais son amour est de plus en plus profond.
Enfin, les six mois se sont écoulés et rien n’a poussé. Consciente de ses efforts et de son dévouement, la jeune fille annonce à sa mère que, indépendamment des circonstances, elle retournerait au palais. Puisqu’elle n’aspire à rien d’autre que quelques minutes de plus en compagnie du prince.
Et le moment venu, elle est là ; son pot vide, parmi toutes les autres prétendantes, chacune avec de fleurs, toutes plus belles les unes que les autres, de formes et de couleurs variées.
Elle était contemplative, jamais elle n’avait vu de si belle scène.
Arrive le moment tant attendu, et le prince considère chacune des prétendantes avec beaucoup de soin et d’attention. Après être passé devant toutes, une par une, il annonce le résultat et montre sa belle et future épouse.
Les convives ont été offusqués du choix du prince. Personne n’a compris pourquoi il avait choisi celle qui n’avait rien « cultivé ».
– Alors, le prince explique calmement :
– Celle-ci a été la seule à « cultiver » la fleur qui la rend digne de devenir impératrice. La fleur de l’honnêteté, parce que toutes les graines qui ont été distribuées étaient stériles.
« L’honnêteté est comme une fleur faite de fils de lumière, qui illumine qui la cultive et répand autour la lumière. »
Hey toi, réveille-toi !!!
HEY toi derrière l’écran, réveille-toi !!!
Pourquoi existes-tu ???
Le but de la vie n’est pas simplement d’aller travailler, attendre le weekend et payer le loyer.
Non ! non ça peut pas être que ça. Je sais pas tout. Mais je suis sûr d’une chose !
Ce n’est pas la mort qui effraie le plus les gens.
Mais c’est arriver à la fin de leurs vies et réaliser qu’ils ont passés toutes ces années sans vraiment « vivre ».
Il y a une étude qui a été faite dans un hôpital sur une centaine de personnes âgées.
Il ne leur restait que peu de temps à vivre.
On leur a demandé de réfléchir à leur plus grand regret dans la vie.
La plupart d’entre eux ont dit qu’ils ne regrettaient pas les choses qu’ils ont faites.
Mais les chose qu’ils n’ont pas osés faire.
Les risques qu’il n’ont pas osés prendre.
Leurs rêves qu’ils n’ont pas osés poursuivre.
Et toi ? quel seront tes derniers mots ?
« Si seulement j’avais… »?
Hey toi derrière l’écran ! C’est à toi que je parle !
Pourquoi est-ce que tu existes ???
Le but de la vie n’est pas seulement d’aller travailler, attendre le weekend et payer le loyer.
Non ! non ça peut pas être que ça. Je sais pas tout. Mais je suis sûr d’une chose !
Chaque personne sur cette Terre est là pour une raison bien précise.
Et je vais peut-être choquer la communauté noire.
Mais je suis fatigué de dire que Martin Luther King « avait un rêve »…
C’est pas vrai ! C’est plutôt son rêve qui le possédait !
Vous ne choisissez pas vos rêves ! Ce sont vos rêves qui vous choisissent.
Donc ma question est : as-tu assez de courage pour réaliser le rêve qui te possède ?
Ce rêve que toi seul peut réaliser et qui est taillé sur mesure pour toi !
Ou tu vas le laisser te filer entre les doigts.
Tu sais j’ai appris un truc hallucinant sur les avions dernièrement.
J’ai discutais avec un pilote et il me disait que plein de passagers pensent que c’est dangereux pour un avion de voler.
Mais il disait c’est tout le contraire. Ce qui est dangereux pour un avion c’est de rester au sol !
Je lui ai dit : « tu racontes quoi là comment c’est possible ? » Et il m’a expliqué que s’il reste au sol l’avion s’abîme beaucoup plus vite. Son mécanisme commence à rouiller et à mal fonctionner.
Et cela beaucoup plus vite que s’il était dans les airs
Après avoir réfléchi j’ai compris qu’il avait raison…
Parce que les avions sont conçus pour « vivre » dans les airs.
Et c’est pareil pour nous les humains, on est conçus pour vivre les rêves qui nous possèdent.
Donc quel gâchis de vivre le restant de notre vie « au sol » sans jamais un jour « décoller ».
On a tous peur des voleurs qui viennent nous dérober ce qu’on a de plus cher pendant la nuit…
Mais on tolère ce « voleur » qui erre dans notre esprit et qui en a après nos rêves !
Il s’appelle le « doute ». S’il apparaît « appelle les flics », et garde le loin de tes enfants !
Parce que c’est un assassin, il a tué plus de rêves d’enfants que l’échec lui-même !
Il porte plusieurs masques et comme un virus il est là pour t’anéantir et te transformer en une personne hésitante.
Tu vois bien de quoi je parle, ces moments où tu passes tes journées à te demander si tu le fais ou non.
Il y a beaucoup de gens comme ça. Ils hésitent sur la carrière qu’ils vont choisir…
Ils font des choses qu’ils n’aiment pas pour plaire à d’autres… Ou quand il s’agit de faire du sport.
C’est aussi simple à comprendre que 1+1 ! Si tu hésites à faire ce que tu veux faire, tu finiras toujours avec un résultat qui ne te plaira pas.
C’est quoi ce rêve qui est en toi ? C’est quoi qui te fait vibrer ?
Tu peux pas le savoir « à peu près » ! Chaque atome de ton corps doit vivre que pour ça !
Est-ce que ça sera difficile ? Oui sans aucun doute !
Tu chuteras à plusieurs reprises. Et alors ?
Souviens-toi : il n’y a aucune montagne qui est plate. Si tu veux te rendre au sommet, il y aura beaucoup de crêtes abruptes à passer.
Il y aura ces moments où tu en auras marre sans aucun doute et où tu seras même désespéré.
Mais laisse-moi te dire un truc : Steven Spielberg a été rejeté des grandes écoles de cinéma 3 fois !
3 fois je te dis, mais il a continué !
Oprah s’est fait viré disant qu’elle n’était pas faite pour la télévision. Mais tu sais quoi ? Elle a continué.
Les critiques ont dit à Beyoncé qu’elle ne serait pas une grande chanteuse. Elle a traversé la dépression, mais elle a continué.
Surmonter les difficultés et les critiques sont les prérequis pour atteindre la grandeur !
C’est une loi immuable de l’univers, personne n’y échappera.
C’est à toi de choisir quels types de douleurs tu veux endurer. Celle qui vient avant la réussite ou celle d’être hanté… Par les regrets…
Tu veux un conseil ? Ne réfléchis pas trop sur quoi choisir.
On a reçu un cadeau qui s’appelle la vie. Donc ne la gâche pas.
Ne laisse pas ton passé dicter ton futur. Mais décide aujourd’hui de « renaître ».
Décide de reprendre possession des rênes de ta vie maintenant.
Souvent quand faut y aller, il faut y aller.
Tu ferais mieux de tout donner maintenant avant que ton temps sur terre ne soit écoulé car il n’y a pas de prolongation dans la vie.
Et je sais que ça ressemble à un discours de pasteur ou de donneur de leçons. Mais si tu ne fais pas ce pour quoi tu es venu sur terre, en plus de te limiter tu empêches le reste de l’humanité d’avancer.
Donc fais sortir les inventions qui sont dans ton esprit. Ces idées, ces remèdes de maladies, ces compétences qui sont enfouies en toi et que tu dois léguer à cet « uni-vers » !
« Uni » veut dire « un » et « verse » veut dire « chanson ».
Tu comprends ? Tu as ta place dans ce monde, tu dois jouer ta partition, alors « prends ton micro », sois courageux et éblouis le monde entier !
Tu peux pas revenir en arrière et changer ce qui s’est déjà passé.
Mais aujourd’hui tu peux commencer et créer…
… Une toute nouvelle fin !
– Prince Ea –
Lorsque vous n’avez plus d’attentes, votre vie change
J’ai découvert cet article et j’ai adoré. Il explique très bien une manière de vivre qui m’inspire énormément. Bonne lecture !
Patrick
Lorsque vous n’avez plus d’attentes, votre vie change
J’aime agir de manière simple face à la vie, face à ma vie. Une de mes occupations quotidiennes depuis quelques jours consiste à prétendre libérer la conscience de mes illusions ou de mes attentes éternelles, et tout ce que leur présence et leur existence peuvent générer dans ma vie.
Je me suis rendu compte que j’employais une grande quantité de mon énergie à m’imaginer dans une situation future que je désirais. Que je me concentrais bien trop sur le lendemain.
J’ai donc pris la décision de cesser d’attendre, de ne plus rien attendre de moi. Et lorsque l’on fait ce choix, notre cœur pousse un soupir de soulagement et notre âme commence à vivre véritablement.
En règle générale, nous sommes focalisés sur la manière dont nous devons vivre, sans nous rendre compte que nous nous conditionnons et que nous ne vivons pas réellement.
Nous emprisonnons notre âme et nous la mécanisons.
J’ai donc décidé de retenir toutes les pensées qui tournaient autour de moi, autour de toutes les attentes que j’avais vis-à-vis de mon existence. En résumé, toutes mes illusions.
J’ai décidé d’arrêter de me créer des expectatives et de vivre uniquement à travers elles. Pour mieux me concentrer sur ce qui se passait dans ma vie au quotidien, pour profiter de tout ce que j’expérimente, au lieu de passer mon temps à attendre.
“Ce qui est passé n’est plus, ce que vous attendez est absent, mais le présent est vôtre.»
Cessez d’attendre quelque chose des autres
J’ai également décidé de cesser d’attendre quelque chose des autres. Que les personnes qui nous entourent nous valorisent, que notre partenaire nous comprenne, que nous nous comprenions nous-mêmes et que les autres aient confiance en nous, en notre potentiel et en notre savoir-faire ne sont pas des choses faciles. J’ai appris que le plus important était de croire en moi.
Si je fais quelque chose, je dois le faire parce que j’en aie véritablement envie, pas parce que j’attends que cela produise un quelconque changement.
Ne courez pas après l’argent dans votre quotidien
Auparavant, j’attendais de recevoir d’importantes sommes d’argent comme la conséquence des opportunités professionnelles que j’espérais avec beaucoup d’appétit.
Je me suis rendu compte que plus je me concentrais sur le matériel, moins je vivais la vie que je voulais vivre.
J’ai alors accepté de bon cœur tout ce que j’avais déjà et le fait que je n’aie pas besoin de plus pour me sentir bien avec moi-même, ou pour être heureux.
Je me suis aperçu que je ne profitais pas véritablement des moments que je vivais, car je me focalisais uniquement sur le futur, sur le fait de gagner toujours plus d’argent et de combler mes attentes.
Je perdais en réalité mon temps, car je ne me concentrais pas sur l’essentiel : l’instant présent.
Cessez d’attendre que tout soit parfait
Pourquoi vouloir sans cesse que tout soit parfait ? En réalité, en réfléchissant ainsi, je me suis rendu compte que je ne pouvais pas ressentir une véritable paix intérieure.
Ce sentiment que nous dissimulons tous au fond de notre âme et dont nous disposons depuis notre naissance. Nous avons tous la chance d’être des personnes uniques et extraordinaires.
Si vous cessez d’attendre que tout soit parfait, vous n’allez plus dépendre de votre entourage pour devenir la personne que vous êtes réellement.
Vous atteindrez plus facilement un état de sérénité et d’équilibre intérieur. Ce que personne ne doit avoir le pouvoir d’altérer. La perfection n’existe pas, j’ai cessé d’essayer de l’atteindre.
Ne pensez plus au lendemain
Si nous réfléchissons ainsi, c’est parce que nous avons peur de ne pas pouvoir surmonter toutes les choses dont nous avons peur et qui peuvent nous arriver.
J’ai donc commencé à me faire à l’idée de me dire à moi-même que ce qui doit se produire se produira, et que je dois toujours en tirer le meilleur.
Nous avons tous des projets. Je me suis aussi fixé des objectifs incroyables, mais lorsque nous valorisons uniquement notre vie en fonction des grandes opportunités que nous pourrions avoir, nos projets deviennent vite des moyens de comparaison avec les autres.
Les attentes que nous avons nous coûtent énormément d’énergie et nous obligent à nous focaliser sur quelques chemins en particulier, au lieu de nous permettre de voir toute l’étendue de l’horizon qui s’offre à nous. Notre esprit devient alors totalement concentré sur le «comment» et non pas sur le «pourquoi».
J’ai toujours été en attente de quelque chose. J’ai toujours construit dans mon esprit une suite d’événements idéale qui me permettrait d’atteindre tous mes objectifs.
Cette pensée, au lieu de m’aider au quotidien, ne m’a apporté qu’une pression terrible qui m’obligeait à accomplir tous mes objectifs, avec le devoir de ne rien oublier.
Mon corps tout entier était tourné vers la crainte du lendemain et vers toutes ces choses que je devais mettre en place, sous peine d’échouer. Tout cela me provoquait d’incroyables angoisses.
Tout cela parce que je savais pas comment atteindre tous les objectifs que je m’étais fixé, parce que je ne pouvais pas combler toutes mes attentes. Mais, vous savez ce qu’il y a de plus drôle ?
Dès que j’ai cessé de penser à cette série mécanique que je devais mettre au point, j’ai commencé à avoir des réponses à mes questionnements les plus profonds et des idées exceptionnelles qui m’ont permises d’aborder la vie de manière plus simple.
J’étais fatigué psychologiquement et physiquement à cause de tout ce processus mental que je viens de décrire. J’étais sans cesse en train de me préparer pour un marathon éternel, qui n’emportait en moi que des déceptions.
J’étais coincé dans un paradoxe : plus je désirais quelque chose, plus je dépensais mon énergie vitale dans le processus qui devait me permettre de l’atteindre. C’est absurde, non ?
Après avoir mis fin à cette spirale négative, et m’être mis en accord avec tout ce dont mon âme et mon cœur avaient besoin, j’ai pu commencer à vivre véritablement ma vie comme un don du ciel.
J’ai commencé à valoriser toutes les choses que l’existence m’apporte et que je ne parvenais pas à accepter auparavant, car j’étais sans cesse en train d’essayer de répondre à la question «Comment vais-je y parvenir ?», au lieu d’essayer concrètement.
Tout ce que je viens de vous raconter peut se résumer comme ceci : j’ai cessé d’essayer de contrôler tout ce qui se passait dans ma vie et j’ai décidé de voir venir les choses, de ne plus avoir d’attentes.
L’existence dispose de son propre rythme, à la fois simple et inaltérable. Lorsque nous apprenons à l’accepter, nous pouvons commencer à en profiter et à ne plus vivre dans une attente éternelle, qui ne nous apporte finalement que du malheur.
“Faites confiance au temps, qui offre souvent les issues les plus douces aux plus amères difficultés.»
Source de l’article: Nos Pensées
Humains réveillés, vous êtes les acteurs du changement
Pour commencer la nouvelle année, voici un superbe texte sur un sujet plus spirituel. Il a été reblogé sur le site de Chrysalyda que j’adore. Ce texte nous rappelle que nos actions ont des répercussions souvent différentes dépendamment du type de gestes que nous posons. Également, nous nous devons d’entamer nous-même les changements que nous voudrions voir dans le monde sans attendre qu’un autre ne le fasse avant nous. Bonne lecture !
Humains réveillés, vous êtes les acteurs du changement
Tandis qu’une partie de l’humanité aspire à une modification totale de sa manière d’agir, en étant plus axée sur la paix et la solidarité, le respect et le partage, une autre partie intensifie sa résistance au changement et une troisième n’a aucune conscience d’un changement possible.
Des millions d’humains plongés dans l’illusion de la séparation, survivent au quotidien n’ayant aucun espoir de vie heureuse, attendant le miracle de la libération. Ce miracle ne pouvant se produire que par magie, de la part d’un envoyé du ciel ou un dirigeant politique influant.
Certains prient simplement pour leur survie ou celle de leurs proches, mais baignés dans l’effroi et l’horreur de certaines situations, en colère contre la situation ou résignés, ne connaissant pas la loi des vibrations attractives et créatives, amplifient leur désespoir au lieu de se tourner vers la puissance absolue de leur puissance intérieure libératrice.
C’est pour cela qu’il est nécessaire que les humains réveillés qui ont déjà compris leur appartenance au Tout, s’unissent et prient en état de paix et d’espoir, pour créer un égrégore puissant de transformation.
L’élan de paix s’étend sur tous les peuples et les prises de conscience se font chaque jour par de nouvelles personnes devant l’inutilité des guerres.
Continuez ! Vous êtes les acteurs du changement. Vos âmes ont fait le choix de passer à la fréquence manifestée à cette période charnière pour permettre le changement de paradigme et amorcer le retour au paradis, à sa perfection et à sa joie éternelle.
Vous êtes tous issus de la même Source quantique.
Pour le comprendre, imaginez une énorme coupe en cristal remplie d’eau pure.
Un boulanger se sert d’une partie de cette eau pour ajouter à la farine et faire du pain.
Un maçon en prend pour faire du ciment et sceller une statue en l’honneur d’une personnalité.
Une personne boit un verre tandis qu’une autre en prend pour emplir un pistolet à eau et tire sur son voisin.
Une partie sert à arroser le jardin… et une autre à abreuver un animal.
Et alors que deux personnes se disputent violemment, l’une d’elle met le visage de l’autre dans l’eau de la coupe et la noie…
C’est la même eau ! Simplement, c’est le choix de chacun de s’en servir qui amorce le changement. Les résultats sont complètements différents.
Chacun aurait pu faire ce que l’autre en a fait si ses choix avaient été les mêmes
Il en est de même de l’énergie source.
Vous avez le droit de vous en servir comme bon vous semble afin de permettre à la puissance de création de s’exprimer par votre intermédiaire.
Vous êtes des co-créateurs, des gestionnaires libres de cette puissante énergie qui se trouve en vous.
De cette même essence, vous vous êtes créés. Chaque pensée et chaque émotion entraine des conséquences.
C’est votre choix de création et surtout de réaction à ce que vous avez attiré dans votre vie qui fait toute la différence sur la création suivante.
Vous avez tout pouvoir de créer des pensées de paix, de joie ou de bien-être, de solidarité et de fraternité, de tolérance et de partage, à tout moment !
Tout est possible. Chaque nouveau choix entraine des nouvelles conséquences.
Vous êtes, chacune et chacun, l’unique responsable de ce que vous attirez et vivez.
Vous voulez un monde différent ? Commencez par le créer en vous puis à le rayonner dans votre quotidien et le reste suivra.
N’attendez pas que les autres fassent le premier pas pour commencer, vous êtes le premier pas du cheminement du retour à l’unité.
Vous êtes complètement et éternellement aimés de cette Source amour, et il ne peut en être autrement.
Source : Chrysalyda
Les gens ne veulent pas vraiment changer
« Les gens ne veulent pas vraiment changer. Ils veulent changer les autres. Ils m’en voulaient de leur ouvrir les yeux. De leur montrer qu’ils étaient seuls responsables de leurs difficultés. Qu’ils pouvaient être heureux, simplement en décidant d’abandonner leurs malheurs. Il leur fallait lâcher prise, se détacher de leurs souffrances. Mais la plupart des gens y tiennent à leurs souffrances ! » – Antoine Filissiadis
Cette fameuse peur du changement… Et pourquoi donc ?
À cause de l’ennemi #1 du changement – la zone de confort !!
Un sujet que je développerai de long en large en 2017.
C’est à suivre…
Patrick